Dès les premières pages, j'ai pensé à
Boris Vian...
La balafre de Dieu n'est pas un roman de gare qui se lit en une paire d'heures. L'auteur joue avec les mots tout au long des paragraphes, ce qui ralentit la lecture pour qui veut déceler les jeux de mots et les références (du coup, la dynamique du récit en pâtit, mais c'est un choix de l'auteur d'offrir un tapis d'expressions détournées). Un roman fidèle à l'esprit original des Éditions Underground pour des productions hors normes.
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