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Critique de Laviniaa
Si on m'avait demandé hier ce que je pensais de ce livre, j'aurais dit qu'il était ennuyeux à mourir. Aujourd'hui, j'ai changé d'avis suite à la lecture des 150 dernières pages.
Matteo est en fait Janek, un bohémien. Suite au vol d'un mystérieux sceau, il est poursuivi par un dangereux bandit. Il finit presque noyé dans une rivière mais est miraculeusement sauvé par le grand Léonard de Vinci lui-même. Il le suivra pendant de longues années et un nombre important d'épreuves se dresseront sur son chemin.
J'aimerais te dire exactement ce qui m'a déplu dans la première partie, celle qui m'a tant ennuyée mais c'est difficile à dire. J'ai l'impression qu'il se passait beaucoup de choses mais d'une façon très lente, chose accentuée par une écriture qui m'a semblée un peu lourde et trop descriptive. Peut-être est-ce parce que j'en attendais trop, tout simplement. J'aime les Médicis, j'aime la Renaissance italienne, ainsi espérais-je sans doute autre chose.
Cette première partie, c'est "l'enfance" de Matteo. Je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêt dans cette succession d'événements qui me semblaient sans fond, par moment je me suis même demandé pourquoi parlait-on de telle ou telle chose. Comme si on avait voulu rajouter du contenu mais qui, pour moi, n'a fait que m'empêcher de me plonger entièrement dans l'histoire. Parler de personnages importants juste pour les citer, parler de choses sans vraiment expliquer les événements antérieurs qui ont conduits à ça. A cause de tout cela, je lisais dix pages par-ci, dix pages par-là.. Et puis, Matteo est devenu plus adulte. Et là ça a commencé à attirer mon attention.
Cette fois, ce qu'il se passait avait du sens. C'était captivant, plein d'aventure, d'amour, de sentiments forts et d'action. Cela m'a réveillée, j'ai presque lu ces 150 pages en un fois. Bien sûr, certaines choses restent faciles et un peu trop.. romancées, voir tirées les cheveux mais on s'en fiche parce que c'était divertissant. Notre personnage principal devenait enfin quelqu'un, avec du caractère et non un cliché d'enfant vagabond. Et à ce moment-là, j'ai été séduite. Par l'histoire, par ce jeune homme. Je ne dirais pas que cela m'a fait adoré ce livre, non, mais cela a grandement changé l'image que j'avais de tout cela.
Lien : http://mamantitou.blogspot.b..
Matteo est en fait Janek, un bohémien. Suite au vol d'un mystérieux sceau, il est poursuivi par un dangereux bandit. Il finit presque noyé dans une rivière mais est miraculeusement sauvé par le grand Léonard de Vinci lui-même. Il le suivra pendant de longues années et un nombre important d'épreuves se dresseront sur son chemin.
J'aimerais te dire exactement ce qui m'a déplu dans la première partie, celle qui m'a tant ennuyée mais c'est difficile à dire. J'ai l'impression qu'il se passait beaucoup de choses mais d'une façon très lente, chose accentuée par une écriture qui m'a semblée un peu lourde et trop descriptive. Peut-être est-ce parce que j'en attendais trop, tout simplement. J'aime les Médicis, j'aime la Renaissance italienne, ainsi espérais-je sans doute autre chose.
Cette première partie, c'est "l'enfance" de Matteo. Je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêt dans cette succession d'événements qui me semblaient sans fond, par moment je me suis même demandé pourquoi parlait-on de telle ou telle chose. Comme si on avait voulu rajouter du contenu mais qui, pour moi, n'a fait que m'empêcher de me plonger entièrement dans l'histoire. Parler de personnages importants juste pour les citer, parler de choses sans vraiment expliquer les événements antérieurs qui ont conduits à ça. A cause de tout cela, je lisais dix pages par-ci, dix pages par-là.. Et puis, Matteo est devenu plus adulte. Et là ça a commencé à attirer mon attention.
Cette fois, ce qu'il se passait avait du sens. C'était captivant, plein d'aventure, d'amour, de sentiments forts et d'action. Cela m'a réveillée, j'ai presque lu ces 150 pages en un fois. Bien sûr, certaines choses restent faciles et un peu trop.. romancées, voir tirées les cheveux mais on s'en fiche parce que c'était divertissant. Notre personnage principal devenait enfin quelqu'un, avec du caractère et non un cliché d'enfant vagabond. Et à ce moment-là, j'ai été séduite. Par l'histoire, par ce jeune homme. Je ne dirais pas que cela m'a fait adoré ce livre, non, mais cela a grandement changé l'image que j'avais de tout cela.
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