Et dire que je pensais qu'en matière de haine viscérale Frédégonde et Brunehaut avaient atteint des sommets…Nenni. Je découvre dans ce deuxième tome que Diane de Poitiers et Mme d'Etampes, respectivement maîtresses du roi Henri II et de François 1 -qui malgré son numéro ne fut ni le premier ni le dernier monarque à laisser ses maîtresses gouverner à leur Guise - ont orchestré des guerres sanglantes et condamné des centaines de gens à la torture et au bûcher. Avec des personnages aussi machiavéliques, la réalité, en matière d'horreur, dépasse la fiction. Constater à quel point les gens de pouvoir, indifféremment hommes ou femmes sont capables de cruauté fait littéralement froid dans le dos. Une narration prenante.
Commenter  J’apprécie         164