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Critique de Maanilee
Un "manga sous forme de roman" (sans pour autant être une light novel), voilà un concept original. Peu fan de mangas à l'origine, car je préfère beaucoup de texte a beaucoup d'images, Séduction à l'Otak-kfé me paraissait un bon compromis pour m'immerger dans cette culture tout en assouvissant mon besoin de lire en quantité !
Malheureusement, l'enthousiasme est très vite retombé, dès qu'on a pu avoir le point de vue du héros masculin, à vrai dire. Dès le départ, il paraît antipathique. Si on se doute que l'auteure à voulu le faire partir de loin pour qu'il ait une belle progression au fil du roman, on n'a pas assez d'éléments positifs auxquels se raccrocher pour ressentir un minimum d'empathie à son égard. de même, si l'héroïne Miss Catastrophe est touchante et drôle au départ avec sa maladresse, son côté un peu trop niais et "conne" comme le dit justement Yannis, finit par la rendre agaçante.
L'univers manga et japonais en général est très riche et on sent que l'auteure maîtrise son sujet. Néanmoins, l'accumulation continue finit, là aussi, par créer un sentiment de "trop", rendant le roman peu ancré dans la réalité et donc peu crédible avec celle-ci.
Les thèmes abordés sont plutôt profonds et intelligents, notamment le deuil, le rapport à l'argent, le handicap... Autant d'ingrédients intéressants, qui auraient pu vraiment plaire si le tout avait été plus justement dosé. La plume est néanmoins agréable. En dépit de quelques répétitions, l'ensemble se lit plutôt vite et on visualise bien les scènes.
Le petit plus : la multiplicité de personnages qui gravitent autour de l'Otak kafé et plus généralement autour de nos deux héros. Entre les adolescents, Will et ses triplés... on ne s'ennuie pas une seconde et on se prend à regretter de ne pas pouvoir, nous aussi, faire un tour dans ce lieu plutôt familial.
Malheureusement, l'enthousiasme est très vite retombé, dès qu'on a pu avoir le point de vue du héros masculin, à vrai dire. Dès le départ, il paraît antipathique. Si on se doute que l'auteure à voulu le faire partir de loin pour qu'il ait une belle progression au fil du roman, on n'a pas assez d'éléments positifs auxquels se raccrocher pour ressentir un minimum d'empathie à son égard. de même, si l'héroïne Miss Catastrophe est touchante et drôle au départ avec sa maladresse, son côté un peu trop niais et "conne" comme le dit justement Yannis, finit par la rendre agaçante.
L'univers manga et japonais en général est très riche et on sent que l'auteure maîtrise son sujet. Néanmoins, l'accumulation continue finit, là aussi, par créer un sentiment de "trop", rendant le roman peu ancré dans la réalité et donc peu crédible avec celle-ci.
Les thèmes abordés sont plutôt profonds et intelligents, notamment le deuil, le rapport à l'argent, le handicap... Autant d'ingrédients intéressants, qui auraient pu vraiment plaire si le tout avait été plus justement dosé. La plume est néanmoins agréable. En dépit de quelques répétitions, l'ensemble se lit plutôt vite et on visualise bien les scènes.
Le petit plus : la multiplicité de personnages qui gravitent autour de l'Otak kafé et plus généralement autour de nos deux héros. Entre les adolescents, Will et ses triplés... on ne s'ennuie pas une seconde et on se prend à regretter de ne pas pouvoir, nous aussi, faire un tour dans ce lieu plutôt familial.
