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Critique de Crossroads
La vache, c'est bien toi, Bob ?
J'en étais resté aux vieux albums.
Vernes en scénariste indéboulonnable.
Forton puis Vance puis Coria puis en Velay au crayon HB pointe fine.
Gros a priori de départ - je sais, c'est moche - quant à ce Phénix annoncé. Faut dire que j'avais encore le retour de Corto en travers des mirettes, ça aide pas à la confiance.
Mais foin de bête préjugé, une chance sur deux d'être agréablement surpris, c'est déjà pas si mal.
Voilà, pas si mal, sans plus.
Sentiment diffus au sortir de ce Bob Morane-Renaissance.
Louane a dit: "C'est le jour un, celui qu'on retient".
Ben non, pas certain que ce grand retour soit frappé du sceau de l'impérissable.
Le problème, c'est peut-être le fait d'avoir ressuscité ce personnage emblématique dans un récit futuriste alors que le Bob, version originelle, s'ancrait dans une réalité bien tangible.
Mixant allègrement nouvelles technologies et géopolitique, cette renaissance peine à convaincre le nostalgique que je suis.
Un trait réactualisé combiné à un nuancier vous explosant littéralement la rétine et à un scénario pas franchement convaincant expliquent cette moue dubitative de niveau 4 sur une échelle en comprenant 7. Lolo Ferrari personnalisant à merveille ce stade ultime.
Ceci dit, je serai certainement présent pour la sortie de Bob Morane-Renaissance 2, le retour d'Hibernatus version 3.0. On est plus à un paradoxe près.
J'en étais resté aux vieux albums.
Vernes en scénariste indéboulonnable.
Forton puis Vance puis Coria puis en Velay au crayon HB pointe fine.
Gros a priori de départ - je sais, c'est moche - quant à ce Phénix annoncé. Faut dire que j'avais encore le retour de Corto en travers des mirettes, ça aide pas à la confiance.
Mais foin de bête préjugé, une chance sur deux d'être agréablement surpris, c'est déjà pas si mal.
Voilà, pas si mal, sans plus.
Sentiment diffus au sortir de ce Bob Morane-Renaissance.
Louane a dit: "C'est le jour un, celui qu'on retient".
Ben non, pas certain que ce grand retour soit frappé du sceau de l'impérissable.
Le problème, c'est peut-être le fait d'avoir ressuscité ce personnage emblématique dans un récit futuriste alors que le Bob, version originelle, s'ancrait dans une réalité bien tangible.
Mixant allègrement nouvelles technologies et géopolitique, cette renaissance peine à convaincre le nostalgique que je suis.
Un trait réactualisé combiné à un nuancier vous explosant littéralement la rétine et à un scénario pas franchement convaincant expliquent cette moue dubitative de niveau 4 sur une échelle en comprenant 7. Lolo Ferrari personnalisant à merveille ce stade ultime.
Ceci dit, je serai certainement présent pour la sortie de Bob Morane-Renaissance 2, le retour d'Hibernatus version 3.0. On est plus à un paradoxe près.
