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Critique de LoupAlunettes
Qui dit parapluie dit temps de pluie, c'est évident.
Des fenêtres, les parapluies nous priveraient du spectacle ordinaire des gens qui passent.
La première de couverture de l'album " Sous le parapluie" ajoutera de la chaleur et de la lumière sous l'un d'entre eux, sûr que nous pourrions y être bien au chaud et nourri du sentiment d'être un peu protégé par la morosité.
De quoi parle le livre?
D'un instant de morosité, justement, qui sera agréablement rattrapé.
Un homme subit la force du vent et la pluie froide avant d'attérir devant la vitrine gourmande et pleine de promesse d'une pâtisserie.
Sans doute qu'il n'y aurait pas prêté attention si il n'y avait pas eu l'enfant qui y "léchait" les vitrines d'envie.
Nous allons combattre la grisaille avec les couleurs imposées par l'illustratrice Marion Arbona.
Il fera gris et le rideau va s'abattre sur les passants, une foule dense et pressée tête baissée ( personne n'aime se faire souffler la joue et encore moins par la pluie car ses mains sont froides et piquantes).
" Maudit soit ce temps gris" pestera le personnage de l'histoire.
Une même lumière douce que sur la première de couverture, vive aux tons chauds, baignera un croisement de rue, l'éclairage de la pâtisserie. Mais les couleurs intérieures et extérieures des parapluies qui vont et viennent ne nous donneront pas une impression triste du jour de pluie néanmoins, certains personnages même l'apprécient, on le voit.
Tandis que la description de l'auteure Catherine Buquet dépeindra le temps comme une catastrophe naturelle pourtant les illustrations contrediront ceci avec encore des percées de couleur transitant dans les détails, c'est grâce à la vue, à ce sens que les auteures réduiront la situation à une vue d'esprit.
La vue et bien entendu...le goût.
Alors il ne faudra pas en promettre tout le temps de la sorte et engraisser les grands et petits lecteurs pour leur changer les idées, jeunes lecteurs. L'album nous raconte qu'il y a une chose simple et agréable qui nous attend quelque part et qui renverra le mauvais temps à son caractère anecdotique.
Et d'ailleurs, si il n'était parfois pas si violent le temps de pluie serait charmant, n'est-ce pas?
Des fenêtres, les parapluies nous priveraient du spectacle ordinaire des gens qui passent.
La première de couverture de l'album " Sous le parapluie" ajoutera de la chaleur et de la lumière sous l'un d'entre eux, sûr que nous pourrions y être bien au chaud et nourri du sentiment d'être un peu protégé par la morosité.
De quoi parle le livre?
D'un instant de morosité, justement, qui sera agréablement rattrapé.
Un homme subit la force du vent et la pluie froide avant d'attérir devant la vitrine gourmande et pleine de promesse d'une pâtisserie.
Sans doute qu'il n'y aurait pas prêté attention si il n'y avait pas eu l'enfant qui y "léchait" les vitrines d'envie.
Nous allons combattre la grisaille avec les couleurs imposées par l'illustratrice Marion Arbona.
Il fera gris et le rideau va s'abattre sur les passants, une foule dense et pressée tête baissée ( personne n'aime se faire souffler la joue et encore moins par la pluie car ses mains sont froides et piquantes).
" Maudit soit ce temps gris" pestera le personnage de l'histoire.
Une même lumière douce que sur la première de couverture, vive aux tons chauds, baignera un croisement de rue, l'éclairage de la pâtisserie. Mais les couleurs intérieures et extérieures des parapluies qui vont et viennent ne nous donneront pas une impression triste du jour de pluie néanmoins, certains personnages même l'apprécient, on le voit.
Tandis que la description de l'auteure Catherine Buquet dépeindra le temps comme une catastrophe naturelle pourtant les illustrations contrediront ceci avec encore des percées de couleur transitant dans les détails, c'est grâce à la vue, à ce sens que les auteures réduiront la situation à une vue d'esprit.
La vue et bien entendu...le goût.
Alors il ne faudra pas en promettre tout le temps de la sorte et engraisser les grands et petits lecteurs pour leur changer les idées, jeunes lecteurs. L'album nous raconte qu'il y a une chose simple et agréable qui nous attend quelque part et qui renverra le mauvais temps à son caractère anecdotique.
Et d'ailleurs, si il n'était parfois pas si violent le temps de pluie serait charmant, n'est-ce pas?
