Dans son journal, le jeune Augusten un peu gay et fort coincé raconte son arrivée dans la folle maison Finch, celle du psy de sa mère et tout aussi cinglé!
Burroughs est certainement doué pour écrire avec humour et imagination des scénarios de série américaine... C'est agréable mais je regrette que cette usine à gags assez lourds efface toute la sensibilité de la première partie.
(Vous assisterez à tout ce que vous pouvez imaginer de pire dans un hôpital psychiatrique, gosse chiant sur le tapis, grattage de pellicules, ... et il surenchérit avec fellations, mycoses vaginales, sodomie, le père lisant son avenir dans ses étrons et les exposant sur la table de pique-nique...)
Commenter  J’apprécie         102