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Critique de Philes67


Burroughs raconte son enfance et son adolescence de la façon la plus simple qui soit - et c'en est presque scandaleux. Fils d'une poétesse lesbienne et d'un alcoolo, il est "donné" à l'âge de 12 ans, au psy de sa mère, Finch, qui l'élève au sein de sa famille. Entre alors en scène Neil, de 20 ans son aîné, qui l'initie à la fellation et finit par le sodomiser plusieurs fois, jusqu'à ce qu'il éprouve du plaisir. augusten consomme des psychotropes comme des bonbons, jour avec une machine à électrochocs et finit par comprendre que la fac de médecine n'est pas pour lui.
un récit qui évite le lyrisme et la psychologie, servi par une écriture volontairement dépouillée et pourtant sophistiquée. La fin révèle une vérité cruelle qui projette Augusten dans la solitude et l'écriture.
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