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Critique de Charlit
J'avais été bluffée par les deux premiers romans de Michel Bussi que j'ai lus, Nymphéas noirs et Maman a tort. Mais depuis, la magie n'opère plus. Je ressors à chaque fois mitigée de mes lectures de cet auteur. le temps est assassin ne fait pas exception.
L'un des points qui me gène le plus dans ce roman est la surenchère des fausses pistes, d'autant plus pour aboutir à une résolution tirée par les cheveux.
Par ailleurs, l'intrigue manque d'originalité. de nombreux éléments sont déjà présents dans les précédents livres de Michel Bussi : des parents morts dans un accident, un(e) orphelin (e) qui essaye de comprendre, une partie du récit sous forme de journal intime.
Il y a des passages très agréables à lire, en particulier les descriptions de la Corse. Je ne sais pas si elles sont fidèles car je ne connais pas cette île. Quoiqu'il en soit, elles donnent très envie d'y aller. Mais il y a aussi des passages longuets, avec une multiplication de comparaisons et de métaphores qui manquent de spontanéité, qui semblent là juste pour le style.
Enfin, je ne me suis attachée à aucun personnage. Entre autres, Clotilde adolescente est agaçante à prendre son "lecteur du futur" pour un inculte ; Franck et Valentine sont d'un égoïsme sans nom à n'éprouver aucune compassion pour Clotilde adulte.
Je reconnais tout de même que Michel Bussi sait maintenir le suspens. Malgré les défauts du roman, je ne l'ai pas abandonné en cours de route et je l'ai même lu en peu de temps.
Allez, je ne baisse pas les bras. J'espère que ma prochaine lecture de Michel Bussi sera meilleure.
L'un des points qui me gène le plus dans ce roman est la surenchère des fausses pistes, d'autant plus pour aboutir à une résolution tirée par les cheveux.
Par ailleurs, l'intrigue manque d'originalité. de nombreux éléments sont déjà présents dans les précédents livres de Michel Bussi : des parents morts dans un accident, un(e) orphelin (e) qui essaye de comprendre, une partie du récit sous forme de journal intime.
Il y a des passages très agréables à lire, en particulier les descriptions de la Corse. Je ne sais pas si elles sont fidèles car je ne connais pas cette île. Quoiqu'il en soit, elles donnent très envie d'y aller. Mais il y a aussi des passages longuets, avec une multiplication de comparaisons et de métaphores qui manquent de spontanéité, qui semblent là juste pour le style.
Enfin, je ne me suis attachée à aucun personnage. Entre autres, Clotilde adolescente est agaçante à prendre son "lecteur du futur" pour un inculte ; Franck et Valentine sont d'un égoïsme sans nom à n'éprouver aucune compassion pour Clotilde adulte.
Je reconnais tout de même que Michel Bussi sait maintenir le suspens. Malgré les défauts du roman, je ne l'ai pas abandonné en cours de route et je l'ai même lu en peu de temps.
Allez, je ne baisse pas les bras. J'espère que ma prochaine lecture de Michel Bussi sera meilleure.
