Un professeur de français me disait: lire de la poésie, c'est ouvrir le livre au hasard et le refermer au gré de ses humeurs. Impossible dans ce cas car la forme est aussi celle de récits. Si quelques fulgurances nous séduisent parfois, la lecture est difficile. La sensibilité poétique du début du XIX° siècle n'est plus la nôtre. Et nous avons affaire ici à une poésie traduite. La traduction s'avère logiquement incapable de restituer la métrique et la rime. Byron probablement ne peut se lire qu'en anglais. Hélas, je ne maitrise pas suffisamment cette langue.
Commenter  J’apprécie         10