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Critique de florencem
Si le tome un de Hana no breath ne m'avait pas totalement convaincue, j'ai été beaucoup plus charmée par le second et dernier volume. La relation entre Gwen et Azami étant maintenant installée, on entre plus dans les difficultés que le jeune couple va rencontrer vis-à-vis de l'extérieur ce qui rend les choses plus intéressantes pour moi.
La décision de Gwen de partir durant quasiment tout l'été, et une partie avec Judith avait de quoi apporter des problèmes… Cela ne râte pas, sans réelle surprise, mais j'ai trouvé que le traitement était vraiment bien amené. On arrive vraiment à voir les deux points de vue de nos héroïnes et à comprendre les réactions de l'une comme de l'autre sans avoir cette sensation que Gwen ou Azami est en tort. Cet épisode nous permet aussi de vraiment appréhender les sentiments de Gwen qui était restée un peu en retrait jusqu'à présent.
La seconde partie est potentiellement ma préférée. Je dis potentiellement, car on assiste à des scènes de harcèlement qui sont assez dures à voir. Il était assez compliqué de voir Gwen dans cette position, elle qui est si adorable et douce. Elle nous prouve pourtant qu'elle est forte, et pas si naïve que cela. La violence, cependant, de cette partie reste prédominante pour moi. Il y avait vraiment un côté « mauvais » dans l'attitude de la harceleuse, qui rend le tout très réaliste et qui touche bien entendu plus le lecteur.
La situation se résout de façon juste et adorable, comme a été le manga depuis le début, mais sans être trop mièvre non plus. La confrontation et l'acceptation donnent lieu à de très jolies scènes pleines de bienveillance et de tolérance.
La décision de Gwen de partir durant quasiment tout l'été, et une partie avec Judith avait de quoi apporter des problèmes… Cela ne râte pas, sans réelle surprise, mais j'ai trouvé que le traitement était vraiment bien amené. On arrive vraiment à voir les deux points de vue de nos héroïnes et à comprendre les réactions de l'une comme de l'autre sans avoir cette sensation que Gwen ou Azami est en tort. Cet épisode nous permet aussi de vraiment appréhender les sentiments de Gwen qui était restée un peu en retrait jusqu'à présent.
La seconde partie est potentiellement ma préférée. Je dis potentiellement, car on assiste à des scènes de harcèlement qui sont assez dures à voir. Il était assez compliqué de voir Gwen dans cette position, elle qui est si adorable et douce. Elle nous prouve pourtant qu'elle est forte, et pas si naïve que cela. La violence, cependant, de cette partie reste prédominante pour moi. Il y avait vraiment un côté « mauvais » dans l'attitude de la harceleuse, qui rend le tout très réaliste et qui touche bien entendu plus le lecteur.
La situation se résout de façon juste et adorable, comme a été le manga depuis le début, mais sans être trop mièvre non plus. La confrontation et l'acceptation donnent lieu à de très jolies scènes pleines de bienveillance et de tolérance.
