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Critique de Livresqueivresse
Nous avions lu de cette même autrice "La lumière dans les combles".
Nous avions été happées et bouleversées par cette lecture très bien documentée.
Ici c'est encore le cas. J'ai d'ailleurs lu les derniers chapitres sous tension, stressée et j'ai eu du mal à poser le livre tant je souhaitais connaître le dénouement.
Je cite : " le projet Bluebird était un programme top secret lancé par la CIA (Central Intelligence Agency) après la reddition de l'Allemagne en 1945."
" On estime que l'opération Paperclip a fait venir aux États-Unis mille six cents experts nazis, dans tous les domaines de la science, pour les mettre au travail après avoir effacé leur passé d'atrocités et de crimes de guerre. Mais le projet Bluebird avait une visée plus spécifique : poursuivre les expérimentations médicales menées à Dachau et dans d'autres camps de concentration dans le but de contrôler l'esprit."
Cette lecture se démêle petit à petit comme un enchevêtrement d'horreur et de bienveillance. L'être humain est capable du pire comme du meilleur.
J'ai été touchée par l'histoire de cette jeune fille, qui a la fin de la guerre, retrouve ses frères et sa mère tués, tous de la main de cette dernière... Elle se retrouve alors seule et part pour retrouver son père à Berlin dans le camp de Sachsenhausen . Alors qu'elle pense qu'il oeuvre pour le bien, elle découvre derrière le mur du camp, l'Horreur et les atrocités qui y ont été commises. Et il en est le principal responsable.
Perdue, déboussolée, elle s'accroche alors à la vie de sa voisine qu'elle veut absolument sauver.
Elle quittent toutes les deux Berlin pour New York où elles sont prises en charge par l'association American Friends Service Commitee et logées dans la Powell House.
Les gens sont ici bienveillants et volontaires pour les aider. Personne ne connait son passé, qui elle est vraiment, ni quel est son véritable dessein.
Nous avions été happées et bouleversées par cette lecture très bien documentée.
Ici c'est encore le cas. J'ai d'ailleurs lu les derniers chapitres sous tension, stressée et j'ai eu du mal à poser le livre tant je souhaitais connaître le dénouement.
Je cite : " le projet Bluebird était un programme top secret lancé par la CIA (Central Intelligence Agency) après la reddition de l'Allemagne en 1945."
" On estime que l'opération Paperclip a fait venir aux États-Unis mille six cents experts nazis, dans tous les domaines de la science, pour les mettre au travail après avoir effacé leur passé d'atrocités et de crimes de guerre. Mais le projet Bluebird avait une visée plus spécifique : poursuivre les expérimentations médicales menées à Dachau et dans d'autres camps de concentration dans le but de contrôler l'esprit."
Cette lecture se démêle petit à petit comme un enchevêtrement d'horreur et de bienveillance. L'être humain est capable du pire comme du meilleur.
J'ai été touchée par l'histoire de cette jeune fille, qui a la fin de la guerre, retrouve ses frères et sa mère tués, tous de la main de cette dernière... Elle se retrouve alors seule et part pour retrouver son père à Berlin dans le camp de Sachsenhausen . Alors qu'elle pense qu'il oeuvre pour le bien, elle découvre derrière le mur du camp, l'Horreur et les atrocités qui y ont été commises. Et il en est le principal responsable.
Perdue, déboussolée, elle s'accroche alors à la vie de sa voisine qu'elle veut absolument sauver.
Elle quittent toutes les deux Berlin pour New York où elles sont prises en charge par l'association American Friends Service Commitee et logées dans la Powell House.
Les gens sont ici bienveillants et volontaires pour les aider. Personne ne connait son passé, qui elle est vraiment, ni quel est son véritable dessein.
