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Critique de orbe
Un jeune garçon observe avec intérêt la manière dont son voisin s'occupe de son bonsaï et tous les soins qu'il lui prodigue.
Il est alors être lui-même l'objet de toutes les attentions de sa mère. le bonsaï fleurit et cela semble une grande étape dans son évolution.
C'est à ce moment là que Yoshi commence à s'interroger sur le bien être réel du bonsaï qui a un besoin constant des mains de son créateur pour vivre alors que dans la nature les autres arbres sont en liberté…
Il décide de tester lui-même une certaine forme d'émancipation…
Le lecteur est plongé dans un conte allégorique où il finit par questionner son propre statut. L'équilibre du texte entre la vie quotidienne du jeune garçon et cette des arbres est bien pensé. le passage de l'enfant au jeune garçon est perceptible.
Sans lourdeur, aidé par la contemplation des magnifiques illustrations, la transposition s'effectue naturellement. On notera plus particulièrement les splendides bassins de poissons qui ornent les pages intérieures de la couverture.
On apprécie aussi la culture japonaise par ses motifs, ses habits, ses coutumes. Jusqu'au papier dont la couleur évoque les anciens parchemins. de plus, le petit “roi” du récit est secondé par un chat tout à la fois témoin et farceur.
A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Il est alors être lui-même l'objet de toutes les attentions de sa mère. le bonsaï fleurit et cela semble une grande étape dans son évolution.
C'est à ce moment là que Yoshi commence à s'interroger sur le bien être réel du bonsaï qui a un besoin constant des mains de son créateur pour vivre alors que dans la nature les autres arbres sont en liberté…
Il décide de tester lui-même une certaine forme d'émancipation…
Le lecteur est plongé dans un conte allégorique où il finit par questionner son propre statut. L'équilibre du texte entre la vie quotidienne du jeune garçon et cette des arbres est bien pensé. le passage de l'enfant au jeune garçon est perceptible.
Sans lourdeur, aidé par la contemplation des magnifiques illustrations, la transposition s'effectue naturellement. On notera plus particulièrement les splendides bassins de poissons qui ornent les pages intérieures de la couverture.
On apprécie aussi la culture japonaise par ses motifs, ses habits, ses coutumes. Jusqu'au papier dont la couleur évoque les anciens parchemins. de plus, le petit “roi” du récit est secondé par un chat tout à la fois témoin et farceur.
A lire !
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