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Critique de saigneurdeguerre
Bienvenue au pays des mages, ou plutôt non ! Bienvenue dans l'univers steampunk (vaporistes pour ceux qui préfèrent). Bon, disons que c'est un peu des deux ! Cela vous convient comme ça ?
Il était une fois un mage à qui sa guilde avait expliqué que rien n'existait, que tout était un rêve peuplé d'ombres. Il était une autre fois (mais au même moment, faut suivre !) une maîtresse mécanicienne qui ne jurait que par les mathématiques, la physique et tout ce qui pouvait être démontré et reproduit scientifiquement. Sa guilde lui a bien fait comprendre que les mages n'étaient que des escrocs, des fumistes, des charlatans... Bref ! Ces deux guildes se détestaient et interdisaient à leurs membres de se côtoyer, ou même tout simplement de s'adresser la parole.
Dans ce monde de mages et de mécaniciens, il existe une troisième espèce : les communs ! Qui ça ? Aucune espèce d'importance, ils ne comptent pas ! Aucun intérêt !
Or, il se fait qu'un jeune mage et qu'une jeune maîtresse mécanicienne vont être les seuls survivants de l'attaque de la caravane où ils se trouvaient tous les deux (sans le savoir au départ) et que la jeune maîtresse mécanicienne va proposer l'inconcevable : une alliance avec le jeune mage pour échapper aux méchants bandits qui ont décimé la caravane...
Bon, je ne vous en dis pas plus ! Faut garder un peu de suspense, tout de même !
J'adore Jack Campbell dont je suis toute l'oeuvre en français, et autant j'ai apprécié "La flotte perdue" autant j'ai bâillé d'ennui durant la plus grande partie de cette histoire. Non ! de grâce ! Ne me pulvérisez pas avec votre pistolet laser (ou votre boule de feu pour ceux qui préfèrent) ! Laissez-moi vous dire pourquoi ! Ne soyez pas comme les "doyens" ou les "mécaniciens émérites" de cette histoire ! Laissez-moi une petite chance de m'expliquer...
Tout commence très bien par une scène de bataille comme Campbell sait si bien les raconter, mais petit-à-petit nous allons quitter le monde de l'heroic-fantasy pour plonger dans la collection Harlequin ! L'histoire d'amour, façon Roméo & Juliette va prendre de plus en plus d'importance. Oh, mon Dieu que la description de ces amours impossibles et interdits est longue et barbante !
Je me suis forcé à lire jusqu'au bout cette romance pour ados pré-pubères mais cela m'a coûté plusieurs heures de ma vie que j'aurais mieux fait de consacrer à de possiblement bien meilleurs ouvrages qui abondent sur mes étagères et que je n'ai pas encore ouverts.
Il était une fois un mage à qui sa guilde avait expliqué que rien n'existait, que tout était un rêve peuplé d'ombres. Il était une autre fois (mais au même moment, faut suivre !) une maîtresse mécanicienne qui ne jurait que par les mathématiques, la physique et tout ce qui pouvait être démontré et reproduit scientifiquement. Sa guilde lui a bien fait comprendre que les mages n'étaient que des escrocs, des fumistes, des charlatans... Bref ! Ces deux guildes se détestaient et interdisaient à leurs membres de se côtoyer, ou même tout simplement de s'adresser la parole.
Dans ce monde de mages et de mécaniciens, il existe une troisième espèce : les communs ! Qui ça ? Aucune espèce d'importance, ils ne comptent pas ! Aucun intérêt !
Or, il se fait qu'un jeune mage et qu'une jeune maîtresse mécanicienne vont être les seuls survivants de l'attaque de la caravane où ils se trouvaient tous les deux (sans le savoir au départ) et que la jeune maîtresse mécanicienne va proposer l'inconcevable : une alliance avec le jeune mage pour échapper aux méchants bandits qui ont décimé la caravane...
Bon, je ne vous en dis pas plus ! Faut garder un peu de suspense, tout de même !
J'adore Jack Campbell dont je suis toute l'oeuvre en français, et autant j'ai apprécié "La flotte perdue" autant j'ai bâillé d'ennui durant la plus grande partie de cette histoire. Non ! de grâce ! Ne me pulvérisez pas avec votre pistolet laser (ou votre boule de feu pour ceux qui préfèrent) ! Laissez-moi vous dire pourquoi ! Ne soyez pas comme les "doyens" ou les "mécaniciens émérites" de cette histoire ! Laissez-moi une petite chance de m'expliquer...
Tout commence très bien par une scène de bataille comme Campbell sait si bien les raconter, mais petit-à-petit nous allons quitter le monde de l'heroic-fantasy pour plonger dans la collection Harlequin ! L'histoire d'amour, façon Roméo & Juliette va prendre de plus en plus d'importance. Oh, mon Dieu que la description de ces amours impossibles et interdits est longue et barbante !
Je me suis forcé à lire jusqu'au bout cette romance pour ados pré-pubères mais cela m'a coûté plusieurs heures de ma vie que j'aurais mieux fait de consacrer à de possiblement bien meilleurs ouvrages qui abondent sur mes étagères et que je n'ai pas encore ouverts.
