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Critique de lilate


Embarquez avec ce roman dans un univers artistique parfaitement décrit par l'auteure : la peinture, et partez à la rencontre de Sullivan et Malia.

Sullivan, artiste reconnu, est un homme arrogant et froid. Il peine à retrouver l'inspiration et n'arrive plus à peindre. Un comble pour quelqu'un qui ne vit et ne respire que pour et par la peinture. C'est un homme assez complexe, que vous n'aurez aucun mal à détester. Au début.

Malia aime peindre. Malia adore peindre. Une fois devant sa toile, ses pinceaux en main, elle s'évade ailleurs, dans sa bulle. Dans un autre monde. Plus rien, plus personne n'existe.
Elle est jeune, a du caractère et paraît très mature pour son âge.

Si Malia ne se rend pas compte de son talent, Sullivan, lui, le voit tout de suite. Ce sera le commencement de quelque chose pour elle, pour lui, pour eux. Entre eux naîtra la passion. Vous ne pourrez pas rester indifférents face à ce qu'il se passe entre ces deux là. Il se peut même que vous oubliiez de respirer.

L'auteure manie aussi bien les mots, que Malia ses pinceaux. Avec brio. Avec émotions. Avec justesse. du Jacinthe. Sa plume et son style sont reconnaissables. Elle arrive à donner à ses livres une dimension incroyable. Et j'aime. Toujours autant.

J'avais peur au début. J'ai lu One il y a un moment déjà, et je me souviens de Sullivan. Je me rappelle l'avoir détesté. Mais ça c'était avant que Jacinthe ne prenne sa plume pour raconter son histoire. Leur histoire.

Je vous invite à lire ce livre et ainsi pénétrer dans le monde de Sullivan et Malia. Vous ne serez pas déçus.
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