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Critique de Aufildeslivres
Ce livre est loin d'être ordinaire !
Ce sont les choses, les objets – notre environnement – qui s'expriment. Une parole libérée qui tacle nos défauts, de la petite habitude au mauvais comportement. Nous, les Hommes, les Femmes, sommes décortiqués par le regard de ces choses : c'est caustique, humoristique voire poétique, mais surtout réaliste. La plume de l'auteure est habile, fine, incisive, aguerrie.
Les mots sont justes. Extrêmement justes.
La parole du miroir est terrible, celle du réseau social décapante.
On sourit, on soupire, on grince des dents. C'est bien de nous dont on parle !
« Quand tu te pâmais devant moi, je reflétais tes humeurs complaisantes, mais vois-tu je ne suis pas magique pour autant, mon seul pouvoir finalement, c'aura été de te montrer ta véritable nature. »
Dès les premières lignes de chaque nouvelle on cherche à deviner qui nous analyse. L'idée se forme. Non ? Ca ne peut pas être ce que l'on croit ! Aïe, mais si !
« A présent, Edward est si triste qu'il aurait envie de décrocher vos fenêtres, pirater vos consciences, mettre vos pages au carré, vous défricher l'url. Il voudrait vous supprimer de son environnement, vous bloquer corps et âme, vous rayer à jamais de sa liste. »
Franchement Caroline, j'ai passé un excellent moment en compagnie de votre écrit. J'en salue la qualité et l'originalité.
Lien : https://aufildeslivresbloget..
Ce sont les choses, les objets – notre environnement – qui s'expriment. Une parole libérée qui tacle nos défauts, de la petite habitude au mauvais comportement. Nous, les Hommes, les Femmes, sommes décortiqués par le regard de ces choses : c'est caustique, humoristique voire poétique, mais surtout réaliste. La plume de l'auteure est habile, fine, incisive, aguerrie.
Les mots sont justes. Extrêmement justes.
La parole du miroir est terrible, celle du réseau social décapante.
On sourit, on soupire, on grince des dents. C'est bien de nous dont on parle !
« Quand tu te pâmais devant moi, je reflétais tes humeurs complaisantes, mais vois-tu je ne suis pas magique pour autant, mon seul pouvoir finalement, c'aura été de te montrer ta véritable nature. »
Dès les premières lignes de chaque nouvelle on cherche à deviner qui nous analyse. L'idée se forme. Non ? Ca ne peut pas être ce que l'on croit ! Aïe, mais si !
« A présent, Edward est si triste qu'il aurait envie de décrocher vos fenêtres, pirater vos consciences, mettre vos pages au carré, vous défricher l'url. Il voudrait vous supprimer de son environnement, vous bloquer corps et âme, vous rayer à jamais de sa liste. »
Franchement Caroline, j'ai passé un excellent moment en compagnie de votre écrit. J'en salue la qualité et l'originalité.
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