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Critique de ladouceheuredelire
Lexie, 13 ans, crée un groupe de musique de 12 personnes sur un malentendu. Elle a alors en tête de sauver tous les gens qui se sentent perdus. Elle parle à maintes reprises de « casseroles », ces évènements de la vie que l'on trimballent et qui nous forgent. C'est un des thèmes principaux du roman : tout le monde a dans son passé un morceau de vie imparfait. Et c'est ce qui nous caractérise, qui nous rend plus fort. On y aborde également l'amour parental, absent ou présent, génétique ou adoptif, violent ou câlin, la musique, l'entraide et la motivation d'atteindre ses rêves. Elle traite également de l'homosexualité, du jugement des autres ou encore de l'amour du livre.
L'écriture de Cathy Cassidy reste la même que dans ses précédents ouvrages : pas trop jeunesse pour ne pas ennuyer les plus grands mais assez compréhensible pour les plus petits. Comme pour Les Filles en chocolat, le public, selon moi, se situerait entre 8 (pour les plus avertis !) et 12 ans. Ce qui ne veut pas dire que les plus grands ne peuvent pas s'y frotter 0:)
La fin est ce que j'appelerais une fin grise : ni blanche, ni noire. Ni heureuse, ni malheureuse. Ce n'est pas la fin heureuse tant attendue, mais rien de mal n'est réellement arrivé. Comme dans la vie, finalement. Les fins grises restent mes préférées et le fait d'en insérer une dans un livre jeunesse représente un énorme plus pour moi.
Enfin, comme dans tous les livres de Cathy Cassidy, les personnages sont attachants. Il y en a toujours un à qui on s'identifie sans vraiment le chercher : Lexie est adorable, Marley est très ignoble au début devenant un personnage pour lequel on éprouve de l'empathie ensuite, Jon et Mandy sont touchants, Bex a un gros caractère bien trempé… Bref : il y en a pour tous les goûts ! Encore une fois, Cathy Cassidy a bien réussi à faire comprendre que chacun était différents, avec ses caractéristiques, ses qualités, ses défauts, et que la vie, c'est la diversité. Dans un monde où les jeunes ont comme objectif devant eux un idéal société inexistant, sa façon d'aborder les personnages restent ultra importantes.
Il n'en reste pas moins que, selon moi, il serait préférable pour les plus jeunes de commencer par Les Filles en chocolat. Elle y traite de sujets plus légers bien que tout aussi poignants, importants et bouleversants.
Lien : https://cercledeslibrairesdi..
L'écriture de Cathy Cassidy reste la même que dans ses précédents ouvrages : pas trop jeunesse pour ne pas ennuyer les plus grands mais assez compréhensible pour les plus petits. Comme pour Les Filles en chocolat, le public, selon moi, se situerait entre 8 (pour les plus avertis !) et 12 ans. Ce qui ne veut pas dire que les plus grands ne peuvent pas s'y frotter 0:)
La fin est ce que j'appelerais une fin grise : ni blanche, ni noire. Ni heureuse, ni malheureuse. Ce n'est pas la fin heureuse tant attendue, mais rien de mal n'est réellement arrivé. Comme dans la vie, finalement. Les fins grises restent mes préférées et le fait d'en insérer une dans un livre jeunesse représente un énorme plus pour moi.
Enfin, comme dans tous les livres de Cathy Cassidy, les personnages sont attachants. Il y en a toujours un à qui on s'identifie sans vraiment le chercher : Lexie est adorable, Marley est très ignoble au début devenant un personnage pour lequel on éprouve de l'empathie ensuite, Jon et Mandy sont touchants, Bex a un gros caractère bien trempé… Bref : il y en a pour tous les goûts ! Encore une fois, Cathy Cassidy a bien réussi à faire comprendre que chacun était différents, avec ses caractéristiques, ses qualités, ses défauts, et que la vie, c'est la diversité. Dans un monde où les jeunes ont comme objectif devant eux un idéal société inexistant, sa façon d'aborder les personnages restent ultra importantes.
Il n'en reste pas moins que, selon moi, il serait préférable pour les plus jeunes de commencer par Les Filles en chocolat. Elle y traite de sujets plus légers bien que tout aussi poignants, importants et bouleversants.
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