Theresa présentée à l'anglaise : sous des apparences de parfaite convenance, de monstrueuses incongruités qui font "boing, shebam, pow, blop, wizz "...
C'est court, 111 pages, et on se remet à aimer les Anglais pour leur sens de l'humour tout à fait unique... Ah quel malheur, quel ennui, s'ils devaient nous quitter...
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