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Critique de Aupaysdejenny
Ce livre est le dernier des contes interdits et autant l'annoncer de suite, il est débordant d'ignominie.
Carolanne est une jeune femme abîmée par son passé effroyable à cause d'un père monstrueux doté d'une cruauté innommable.
Un énième soir de beuverie et autres drogues en tout genre, Carolanne reçoit un SMS de sa grande soeur Maélie qui supplie cette dernière de revenir au plus vite avant que son père ne s'en prenne à elle.
Quand elle arrive, il est trop tard, Maélie a tué son bourreau.
Mais Carolanne a aussi son secret, sa culpabilité qui macèrent dans tout son être.
Une culpabilité omniprésente, vivante qui chaque jour lui rappelle ce qu'elle a fait et qu'elle ne dit pas.
Mais l'heure est plus grave que tout ce reste qui la ronge : il faut qu'elle sauve sa peau et celle de sa soeur, personne ne doit savoir que sa soeur a tué leur père.
Malgré un avis lecture moyen, il n'en reste pas moins que j'ai voulu comprendre et savoir.
La violence de la narration est terrible mais il y a une construction autour des personnages qui entraîne le lecteur dans ce tourbillon épouvantable.
Chaque personnage, même les secondaires possèdent un profil parfaitement travaillé par l'auteur, il ne les survole pas et ça, c'est appréciable.
Le thème de la mort, notamment abordé du point de vue de Silène, de son expérience de mort imminente et surtout de sa conclusion à ce propos est tout à fait fascinant.
C'est évidemment un roman à ne pas mettre en toutes les mains mais étonnamment, pour un conte interdit, j'ai réussi à ne pas détester ma lecture.
Carolanne est une jeune femme abîmée par son passé effroyable à cause d'un père monstrueux doté d'une cruauté innommable.
Un énième soir de beuverie et autres drogues en tout genre, Carolanne reçoit un SMS de sa grande soeur Maélie qui supplie cette dernière de revenir au plus vite avant que son père ne s'en prenne à elle.
Quand elle arrive, il est trop tard, Maélie a tué son bourreau.
Mais Carolanne a aussi son secret, sa culpabilité qui macèrent dans tout son être.
Une culpabilité omniprésente, vivante qui chaque jour lui rappelle ce qu'elle a fait et qu'elle ne dit pas.
Mais l'heure est plus grave que tout ce reste qui la ronge : il faut qu'elle sauve sa peau et celle de sa soeur, personne ne doit savoir que sa soeur a tué leur père.
Malgré un avis lecture moyen, il n'en reste pas moins que j'ai voulu comprendre et savoir.
La violence de la narration est terrible mais il y a une construction autour des personnages qui entraîne le lecteur dans ce tourbillon épouvantable.
Chaque personnage, même les secondaires possèdent un profil parfaitement travaillé par l'auteur, il ne les survole pas et ça, c'est appréciable.
Le thème de la mort, notamment abordé du point de vue de Silène, de son expérience de mort imminente et surtout de sa conclusion à ce propos est tout à fait fascinant.
C'est évidemment un roman à ne pas mettre en toutes les mains mais étonnamment, pour un conte interdit, j'ai réussi à ne pas détester ma lecture.
