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Critique de saigneurdeguerre
Robert est pompier et fier de l'être. Il rêve de voir sa fille embrasser le métier… Pour l'instant, elle se contente d'embrasser un beau pompier.
Robert est au service de l'humanité… Mais pendant un match décisif, faut pas le déranger ! Y a pas le feu tout de même !
Horace, à défaut d'être un génie (loin de là) est sans nul doute le plus motivé pour ce métier. Et ce n'est une jambe dans le plâtre qui va l'empêcher de montrer ce qu'il a dans le ventre.
Le commandant est un pur ! Un dur ! Et on va voir ce qu'on va voir, mais il s'est juré de transformer en athlètes accomplis ses hommes dont certains ont plutôt le ventre bien rempli !
Critique :
Plus franco-belge que ça comme BD, ce sera difficile à trouver ! Cazenove, le scénariste, est français et Stédo, le dessinateur est belge. Christian Favrelle se charge de mettre en couleurs de très jolie manière et les magnifiques couleurs de la couverture sont dues à Pierre Schelle.
J'ai passé un bon moment de détente qui m'a fait presque oublier la canicule en me plongeant dans ce quatrième tome des « Pompiers ». Les dessins sont très amusants et les gags, bien que très prévisibles dans la plupart des cas, apportent un peu de plaisir dans ce monde de brutes. A consommer sans modération…
Robert est au service de l'humanité… Mais pendant un match décisif, faut pas le déranger ! Y a pas le feu tout de même !
Horace, à défaut d'être un génie (loin de là) est sans nul doute le plus motivé pour ce métier. Et ce n'est une jambe dans le plâtre qui va l'empêcher de montrer ce qu'il a dans le ventre.
Le commandant est un pur ! Un dur ! Et on va voir ce qu'on va voir, mais il s'est juré de transformer en athlètes accomplis ses hommes dont certains ont plutôt le ventre bien rempli !
Critique :
Plus franco-belge que ça comme BD, ce sera difficile à trouver ! Cazenove, le scénariste, est français et Stédo, le dessinateur est belge. Christian Favrelle se charge de mettre en couleurs de très jolie manière et les magnifiques couleurs de la couverture sont dues à Pierre Schelle.
J'ai passé un bon moment de détente qui m'a fait presque oublier la canicule en me plongeant dans ce quatrième tome des « Pompiers ». Les dessins sont très amusants et les gags, bien que très prévisibles dans la plupart des cas, apportent un peu de plaisir dans ce monde de brutes. A consommer sans modération…
