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Critique de mika07
Je tourne la dernière page de ce très joli roman plein d'humanité et de tendresse, teinté d'une touche de surnaturel et d'action.
J'ai passé un excellent moment à découvrir la plume légère et sensible de l'auteure qui a su me transporter au Banc de Lys, coin de nature unique et mystérieux à la fois, propice au romantisme d'un amour sur une plage de sable fin comme au drame au détour d'un virage d'une route escarpée. Des mots riches et simples à fois, la signature des belles écritures, qui posent le décor de cette histoire dont l'intrigue prend forme au fil des pages.
Sa force tient à un scénario bien monté en mode enquête avec de l'action et des rebondissements mais aussi et surtout aux personnages au caractère marqués et profondément vivants, dans leurs bonnes actions comme dans leurs travers "d'humain". Je me suis beaucoup attaché au héros, Paul, autant par sa sensibilité, sa bienveillance et son âme profondément humaine que par ses défauts, ses faiblesses et ses fêlures qui l'ont fait vivre et grandir dans l'ombre de mentors pour éclore, au fil des pages, et renaître comme un nouvel homme convaincu dans ses valeurs profondes et prenant enfin en main sa destinée. Un bel exemple de transformation, de transfiguration capté par un procédé photographique singulier, aussi illustre que fascinant: le daguerréotype. Cet autre "héros" de l'histoire, invention de Louis Daguerre, capable de voir au travers des yeux jusqu'aux tréfonds de l'âme pour immortaliser un nouvel éclat dans un regard ou un soudain halo de lumière autour d'un homme au caractère sombre ou taciturne.
J'ai été enthousiasmé autant qu'impatient des péripéties, des rencontres, des surprises, des plaisirs, des déceptions... que le hasard (ou le destin) met sur le chemin de Paul. Son duo avec Violette, pétillante et intrépide, rencontrée au hasard de sa quête, apporte une fraicheur et saveur supplémentaire d'exotisme. D'autres personnages plus amers m'ont agacé par leur caractère marqué du sceau de l'individualisme, ce qui a créé au final un tableau profondément humain.
La lecture de ce roman me laisse un goût de douceur et de légèreté qui reste dans ma mémoire telle l'empreinte d'une rencontre entre deux êtres dont les regards, d'abord intimidés, révelerait progressivement leur reflet sur la pellicule d'une photo immortalisant la beauté de l'instant.
Alors plongez vos yeux dans l'objectif et si vous avez le coeur plein et l'âme légère, il vous dévoilera une histoire teintée de sensibilité et d'humanité, colorée avec des tons chatoyants, et, sans tomber dans le cliché, un contraste bien calibré où le côté sombre des personnages prisonniers de leurs désirs révèle plus que jamais la lumière des esprits et des actes empreints de générosité et d'altruisme.
Comme inspiré par l'auteure: fermez les yeux et servez-vous dans le buffet des plaisirs.
J'ai passé un excellent moment à découvrir la plume légère et sensible de l'auteure qui a su me transporter au Banc de Lys, coin de nature unique et mystérieux à la fois, propice au romantisme d'un amour sur une plage de sable fin comme au drame au détour d'un virage d'une route escarpée. Des mots riches et simples à fois, la signature des belles écritures, qui posent le décor de cette histoire dont l'intrigue prend forme au fil des pages.
Sa force tient à un scénario bien monté en mode enquête avec de l'action et des rebondissements mais aussi et surtout aux personnages au caractère marqués et profondément vivants, dans leurs bonnes actions comme dans leurs travers "d'humain". Je me suis beaucoup attaché au héros, Paul, autant par sa sensibilité, sa bienveillance et son âme profondément humaine que par ses défauts, ses faiblesses et ses fêlures qui l'ont fait vivre et grandir dans l'ombre de mentors pour éclore, au fil des pages, et renaître comme un nouvel homme convaincu dans ses valeurs profondes et prenant enfin en main sa destinée. Un bel exemple de transformation, de transfiguration capté par un procédé photographique singulier, aussi illustre que fascinant: le daguerréotype. Cet autre "héros" de l'histoire, invention de Louis Daguerre, capable de voir au travers des yeux jusqu'aux tréfonds de l'âme pour immortaliser un nouvel éclat dans un regard ou un soudain halo de lumière autour d'un homme au caractère sombre ou taciturne.
J'ai été enthousiasmé autant qu'impatient des péripéties, des rencontres, des surprises, des plaisirs, des déceptions... que le hasard (ou le destin) met sur le chemin de Paul. Son duo avec Violette, pétillante et intrépide, rencontrée au hasard de sa quête, apporte une fraicheur et saveur supplémentaire d'exotisme. D'autres personnages plus amers m'ont agacé par leur caractère marqué du sceau de l'individualisme, ce qui a créé au final un tableau profondément humain.
La lecture de ce roman me laisse un goût de douceur et de légèreté qui reste dans ma mémoire telle l'empreinte d'une rencontre entre deux êtres dont les regards, d'abord intimidés, révelerait progressivement leur reflet sur la pellicule d'une photo immortalisant la beauté de l'instant.
Alors plongez vos yeux dans l'objectif et si vous avez le coeur plein et l'âme légère, il vous dévoilera une histoire teintée de sensibilité et d'humanité, colorée avec des tons chatoyants, et, sans tomber dans le cliché, un contraste bien calibré où le côté sombre des personnages prisonniers de leurs désirs révèle plus que jamais la lumière des esprits et des actes empreints de générosité et d'altruisme.
Comme inspiré par l'auteure: fermez les yeux et servez-vous dans le buffet des plaisirs.
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