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Critique de MarianneRichard
Cinquième roman de l'auteur florencien Sébastien Chabot, Noir métal est une première immersion personnel dans l'oeuvre de l'auteur. Et ce ne sera surement pas la dernière.
À peine sorti du centre jeunesse, le retour de Sebastien Andersen créer son lot de remous dans le village de Ste-Florence. Entre le Général, qui « scandinavise » ses initiés, et Eva, une fillette qui refuse son sort de monnaie humaine, grouille une faune hétéroclite, tant humaine qu'animale. Sur fond de black metal, les cimetières crachent leurs secrets et les mauvais souvenirs se font poignards.
La noirceur de ce roman rentre dans le coeur et pour y rester accrochée il faut être sensible à l'écriture en forme de poésie de Sébastien Chabot. C'est ce qui, parfois, m'a fait refuser de l'abandonner. C'est glauque, parfois lourd mais l'amour et la force qui émerge de Noir métal en valent la peine.
À peine sorti du centre jeunesse, le retour de Sebastien Andersen créer son lot de remous dans le village de Ste-Florence. Entre le Général, qui « scandinavise » ses initiés, et Eva, une fillette qui refuse son sort de monnaie humaine, grouille une faune hétéroclite, tant humaine qu'animale. Sur fond de black metal, les cimetières crachent leurs secrets et les mauvais souvenirs se font poignards.
La noirceur de ce roman rentre dans le coeur et pour y rester accrochée il faut être sensible à l'écriture en forme de poésie de Sébastien Chabot. C'est ce qui, parfois, m'a fait refuser de l'abandonner. C'est glauque, parfois lourd mais l'amour et la force qui émerge de Noir métal en valent la peine.
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