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Critique de Verdorie
Un jeune Français de 19 ans, Thierry, venu étudier la littérature québécoise à l'UQAM de Montréal, tombe, malgré son aversion pour les rousses, fou amoureux d'une pianiste à la peau diaphane et à la chevelure flamboyante. C'est une fille assez réservée, cachant un (?) secret nimbé de mystère, avide de sexe... et dont l'étrangeté s'accentue quand Thierry rencontre sa famille.
J'ai bien apprécié la fin de ce petit livre à connotation fantastique (et qui est à l'origine d'un long métrage canadien en 2004), mais il faut d'abord se coltiner 200 pages avant d'y arriver... à ce final, peut-être moins surprenant que assurément différent dans ce type de récit.
Si la "surprise" de la thématique est absente dès le départ, c'est grâce à la 4ème de couverture (voir aussi le résumé encadré de Babelio) qui ne "dit" rien mais suggère tout !
Je savais donc à quoi m'attendre, or je ne pensais pas devoir me farcir une bluette de coup-de-foudre de la part d'un petit bourge, imbu de lui-même et qui sait si bien pérorer sur sa petite personne....d'où des longueurs dans le texte.
D'ailleurs... Henri le co-locataire de Thierry, d'origine haïtienne, sera bien d'accord avec moi ! Et c'est donc plutôt lui, polémiste aux raisonnements parfois loufoques, que j'ai affectionné dans cette histoire qui cherche (vainement) à vamper le lecteur.
J'ai bien apprécié la fin de ce petit livre à connotation fantastique (et qui est à l'origine d'un long métrage canadien en 2004), mais il faut d'abord se coltiner 200 pages avant d'y arriver... à ce final, peut-être moins surprenant que assurément différent dans ce type de récit.
Si la "surprise" de la thématique est absente dès le départ, c'est grâce à la 4ème de couverture (voir aussi le résumé encadré de Babelio) qui ne "dit" rien mais suggère tout !
Je savais donc à quoi m'attendre, or je ne pensais pas devoir me farcir une bluette de coup-de-foudre de la part d'un petit bourge, imbu de lui-même et qui sait si bien pérorer sur sa petite personne....d'où des longueurs dans le texte.
D'ailleurs... Henri le co-locataire de Thierry, d'origine haïtienne, sera bien d'accord avec moi ! Et c'est donc plutôt lui, polémiste aux raisonnements parfois loufoques, que j'ai affectionné dans cette histoire qui cherche (vainement) à vamper le lecteur.
