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Critique de Davalian
Le premier tome s'est arrêté en laissant le lecteur sur sa faim et promettant de laisser beaucoup de potentiel pour ce second volume. La promesse ainsi faite (un peu écornée par le cahier scientifique) n'a pas été respectée.
Ce qui faisait la grande force du premier volume de cette adaptation de Germinal, la qualité des dessins, n'est plus de mise ici. Conflit social oblige, les mineurs n'iront plus aussi souvent au fond et les quelques séquences qui s'y déroulent ne retrouveront pas la force à laquelle nous étions désormais habitués. Pour de rien arranger les autres séquences sont loin d'être aussi réussies et à certains moments, l'on pourra avoir du mal à reconnaître tel ou tel personnage…
Les textes semblent revanche toujours aussi longs et oiseux. le style de l'auteur est sans doute respecté, mais cela entraîne, dans le cadre d'une adaptation, un maque de fluidité, d'autant plus regrettable que l'action devait être au coeur de l'album. Selon la pagination, les auteurs auraient travaillé sur le sujet d'un seul tenant, serait-ce une marque de fatigue ?
En tout cas, le sentiment qui prédomine ici est la lassitude. C'est avec soulagement que l'on arrive à la dernière planche. Et il faudra encore composer avec huit pages de textes… qui n'apportent strictement rien. Quatre pages de paraphrase coupées de citations qui laissent ensuite la place à quatre pages de citations : nous sommes loin de ce que l'on nous avait offert précédemment.
Voici une deuxième partie bien décevante… peut-être qu'une adaptation en un volume aurait été plus pertinente ?
Ce qui faisait la grande force du premier volume de cette adaptation de Germinal, la qualité des dessins, n'est plus de mise ici. Conflit social oblige, les mineurs n'iront plus aussi souvent au fond et les quelques séquences qui s'y déroulent ne retrouveront pas la force à laquelle nous étions désormais habitués. Pour de rien arranger les autres séquences sont loin d'être aussi réussies et à certains moments, l'on pourra avoir du mal à reconnaître tel ou tel personnage…
Les textes semblent revanche toujours aussi longs et oiseux. le style de l'auteur est sans doute respecté, mais cela entraîne, dans le cadre d'une adaptation, un maque de fluidité, d'autant plus regrettable que l'action devait être au coeur de l'album. Selon la pagination, les auteurs auraient travaillé sur le sujet d'un seul tenant, serait-ce une marque de fatigue ?
En tout cas, le sentiment qui prédomine ici est la lassitude. C'est avec soulagement que l'on arrive à la dernière planche. Et il faudra encore composer avec huit pages de textes… qui n'apportent strictement rien. Quatre pages de paraphrase coupées de citations qui laissent ensuite la place à quatre pages de citations : nous sommes loin de ce que l'on nous avait offert précédemment.
Voici une deuxième partie bien décevante… peut-être qu'une adaptation en un volume aurait été plus pertinente ?
