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Critique de HORUSFONCK
A Creil, Tanguy et Laverdure vont pouvoir passer le mur du son en pilotant de superbes SMB2.
Comme avec les deux premiers opus de la série, Charlier ramène des espions (d'une puissance étrangère et hostile à la France, mais que l'on ne nomme pas) avec de sales gueules et une absence de morale associée.
L' album est plaisant à lire
et à relire, avec son lot de :
- Pitreries de Laverdure
- Finesse et loyauté de Tanguy, avec une habileté au
pilotage et à l' atterrissage final
- Fourberie et inconscience du pilote-espion ( Ott )
- le sacrifice nécessaire, d'un pilote mort au champ
d'honneur.
....Et c'est pour çà que l'on aime le Tanguy et Laverdure de cette époque!
Comme avec les deux premiers opus de la série, Charlier ramène des espions (d'une puissance étrangère et hostile à la France, mais que l'on ne nomme pas) avec de sales gueules et une absence de morale associée.
L' album est plaisant à lire
et à relire, avec son lot de :
- Pitreries de Laverdure
- Finesse et loyauté de Tanguy, avec une habileté au
pilotage et à l' atterrissage final
- Fourberie et inconscience du pilote-espion ( Ott )
- le sacrifice nécessaire, d'un pilote mort au champ
d'honneur.
....Et c'est pour çà que l'on aime le Tanguy et Laverdure de cette époque!
