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Critique de capillo
La lecture, elle a commencé pour moi chez ma grand-mère, qui possédait les collections complètes des Astérix, Lucky Luke, Tintin, et d'autres bandes dessinées.
Le mercredi après-midi, entre deux sessions du Club Dorothée que la plupart des enfants engouffrait avec ce plaisir enfantin qui semble n'appartenir qu'à cette génération bénie des années 80, j'avais la chance de pouvoir choisir un tome parmi ce qui me paraissait des milliers, contenant son lot de cases parlantes colorées qui m'ouvrait un nouvel univers.
Quand j'ai retrouvé cette BD des 4 As qui m'est resté en héritage, c'est l'enfant que j'étais qui l'a ouvert et parcouru, et l'odeur qui s'en dégageait, certains diraient y sentir l' humidité poussiéreuse du livre abandonné longtemps dans un grenier.
Moi j'y ai effectué un voyage dans le temps, dans le canapé de la maison de ma grand-mère de la fin des années 80, retrouvant avec bonheur des images que je connais par coeur tout en les ayant oubliées.
Il n'y a donc pas de critique possible, juste la chronique d'une nostalgie…
Le mercredi après-midi, entre deux sessions du Club Dorothée que la plupart des enfants engouffrait avec ce plaisir enfantin qui semble n'appartenir qu'à cette génération bénie des années 80, j'avais la chance de pouvoir choisir un tome parmi ce qui me paraissait des milliers, contenant son lot de cases parlantes colorées qui m'ouvrait un nouvel univers.
Quand j'ai retrouvé cette BD des 4 As qui m'est resté en héritage, c'est l'enfant que j'étais qui l'a ouvert et parcouru, et l'odeur qui s'en dégageait, certains diraient y sentir l' humidité poussiéreuse du livre abandonné longtemps dans un grenier.
Moi j'y ai effectué un voyage dans le temps, dans le canapé de la maison de ma grand-mère de la fin des années 80, retrouvant avec bonheur des images que je connais par coeur tout en les ayant oubliées.
Il n'y a donc pas de critique possible, juste la chronique d'une nostalgie…
