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Critique de Arale
Voici là un premier tome qui sort de l'ordinaire.
Une héroïne (anti-héroïne plutôt, faut dire qu'elle est de ceux qui massacreront ses semblables) au cynisme décapant, dérangeante et drôle, et qui découvre la vie au seuil de la mort de l'humanité.
Mais c'est qu'elle est tout de même attachante, cette Alice. Malgré (où grâce à) son caractère hautain et son désintérêt plus que probant pour les Hommes, j'ai adoré entrer dans la complexité de son âme. J'ai adoré suivre le mûrissement intellectuel du futur Cavalier Blanc. Bref, j'ai adoré Alice.
Peu d'action dans ce premier tome, plutôt de la psychologie à revendre. Ce livre est une réflexion sur le rapport à l'autre, souvent très difficile, et particulièrement à cette période de l'adolescence. du coup, ça lambine un peu par moment. Mais rien de bien méchant. Pas de quoi refermer le bouquin avant d'avoir terminé.
D'ailleurs, ça serait fort dommage. Parce que, en plus d'un univers psychologique fort bien construit, j'ai eu le droit à un feu d'artifice final à vous détraquer le palpitant. Une fin surprenante.
En gros, une fin qui vous pousse à la consommation. Bah oui, va falloir acheter la suite maintenant...
Lien : http://arale-books.over-blog..
Une héroïne (anti-héroïne plutôt, faut dire qu'elle est de ceux qui massacreront ses semblables) au cynisme décapant, dérangeante et drôle, et qui découvre la vie au seuil de la mort de l'humanité.
Mais c'est qu'elle est tout de même attachante, cette Alice. Malgré (où grâce à) son caractère hautain et son désintérêt plus que probant pour les Hommes, j'ai adoré entrer dans la complexité de son âme. J'ai adoré suivre le mûrissement intellectuel du futur Cavalier Blanc. Bref, j'ai adoré Alice.
Peu d'action dans ce premier tome, plutôt de la psychologie à revendre. Ce livre est une réflexion sur le rapport à l'autre, souvent très difficile, et particulièrement à cette période de l'adolescence. du coup, ça lambine un peu par moment. Mais rien de bien méchant. Pas de quoi refermer le bouquin avant d'avoir terminé.
D'ailleurs, ça serait fort dommage. Parce que, en plus d'un univers psychologique fort bien construit, j'ai eu le droit à un feu d'artifice final à vous détraquer le palpitant. Une fin surprenante.
En gros, une fin qui vous pousse à la consommation. Bah oui, va falloir acheter la suite maintenant...
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