L'enquêtrice est au bord des larmes.
Révoltée par cette organisation clanique où les enfants sont les forçats du vol.
Sans que les adultes ne tolèrent que ces déracinés apprennent.
L'esprit critique tuerait l'appropriation des consciences. (p.160)
L'inégalité sociale pèse lourd dans le procès pénal. (p.142)
"La justice a ordonné qu'il ne voie plus sa mère."
"Cette séparation ne vient pas de lui."
"Il ne peut être prisonnier d'un sentiment de culpabilité."
"Sa reconstruction commence..."
Ce jeune homme n'a plus à douter.
Enfin, la vie lui appartient. (p.130)
Puis.
Lui et sa mère.
Sa mère et lui.
En un couple maudit.
Dans une promiscuité délétère.
Rendant leur relation agressive.
Sur le fil du drame irrémédiable. (p.128)
Le placement de l'adolescent en famille d'accueil.
La brutalité obsessionnelle du père le mettait en danger...
Des familles de substitution injustes.
Opportunistes.
Dénigrant les enfants placés.
Avides de cette manne sociale.
Vivant dans un confort bourgeois.
Sur le malheur de l'enfance maltraitée. (p.128)
Classement sans suite :
(...)
"L'exhibition sexuelle, imposée à la vue d'autrui, dans un lieu accessible aux regards du public, est punie..."
C'était dans une cuisine... (p.117)
Couple toxique.
A n'en pas douter !
L'un ayant besoin de la perversion de l'autre.
Et vice versa. (p.94)
Je lui précisai que le viol, en droit pénal, était "tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature qu'il soit".
Ainsi les fellations imposées ressortaient du viol. (p.85)
On lui reproche des violences volontaires avec une arme par destination, en l'espèce une assiette. (p.76)
Je retiens deux choses.
Je plains son épouse.
Et, sans nul doute, l'immonde le caractérise. (p.72)