Un ouvrage confus au titre trompeur : il n'est pas question de raconter l'histoire d'une population (dont on sait par avance que ses contours sont difficiles à déterminer), mais de décréter que son État-nation fait défaut (chapitre 1 : Un peuple sans État ni nation). Tout est donc ensuite l'occasion de plaintes pour justifier ce manque principiel - sans qu'on appréhende pour autant ce dont on parle. C'est donc davantage de l'ordre de la diatribe que de l'histoire. Les faits historiques donnent par ailleurs l'impression d'être survolés.
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