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Critique de paperborn
Un final décevant. Je n'aurais de toute manière jamais considéré The Last Hours comme ma trilogie préférée de cet univers, mais j'avais tout de même bien apprécié le premier tome, notamment grâce à ses nouveaux personnages et la présence des anciens. D'ailleurs les personnages ont toujours été le point fort de tous les romans de Cassandra Clare ; mais ils ne servent plus à rien s'ils sont éliminés, oubliés ou qu'ils perdent leur personnalité, ce qui est arrivé dans Chain of Thorns. On peut attribuer cela au fait que Clare a mis un certain temps à écrire ce tome-ci, mais cela veut aussi dire que, pour les lecteurs, attendre aussi longtemps met en valeur la déception ressentie en le lisant enfin.
Avec des personnages désormais peu intéressants, on perd beaucoup de l'alchimie des couples (hormis Alastair et Thomas qui m'ont agréablement surprise). Et évidemment, on retombe dans un triangle amoureux très mal exécuté, alors que j'aurais préféré qu'au moins un des personnages (puisqu'il y en a tant) n'ait pas besoin d'une histoire d'amour (d'autant plus aussi frustrante) pour être mis en valeur.
Avec autant d'intrigues mineures, de personnages et de défauts, la lecture de ce dernier tome m'a parue s'éterniser. 800 pages qui auraient pu facilement en être 500 en évitant le drama inutile ; cela donne un final très tiède voire décevant pour une trilogie qui n'était à l'origine pas la meilleure, bien que j'étais prête à passer outre les défauts mineurs des premiers tomes pour mes personnages préférés (notamment Matthew).
Après cela, et considérant la qualité dégringolante de chaque nouveaux tomes depuis Lord of Shadows, il est difficile d'imaginer ce qui pourra rendre The Wicked Powers un final suffisamment efficace à l'oeuvre monumentale de Cassandra Clare, malheureusement.
Avec des personnages désormais peu intéressants, on perd beaucoup de l'alchimie des couples (hormis Alastair et Thomas qui m'ont agréablement surprise). Et évidemment, on retombe dans un triangle amoureux très mal exécuté, alors que j'aurais préféré qu'au moins un des personnages (puisqu'il y en a tant) n'ait pas besoin d'une histoire d'amour (d'autant plus aussi frustrante) pour être mis en valeur.
Avec autant d'intrigues mineures, de personnages et de défauts, la lecture de ce dernier tome m'a parue s'éterniser. 800 pages qui auraient pu facilement en être 500 en évitant le drama inutile ; cela donne un final très tiède voire décevant pour une trilogie qui n'était à l'origine pas la meilleure, bien que j'étais prête à passer outre les défauts mineurs des premiers tomes pour mes personnages préférés (notamment Matthew).
Après cela, et considérant la qualité dégringolante de chaque nouveaux tomes depuis Lord of Shadows, il est difficile d'imaginer ce qui pourra rendre The Wicked Powers un final suffisamment efficace à l'oeuvre monumentale de Cassandra Clare, malheureusement.
