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Critique de Manika
Petite Abeille, adolescente nigérienne, sort d'un centre de rétention après 2 années d'enfermement où elle a appris l'anglais, la langue de la Reine. Perdue dans Londres, elle n'a qu'une adresse où aller, celle inscrite sur un permis de conduire trouvé dans son pays.
Voilà que peu à peu l'histoire se construit. Petite Abeille nous raconte sa vie dans le centre, comment elle a appris la langue et comment elle voit la société occidentale, qu'elle s'imagine raconter à ses ami(e)s resté(e)s au pays.
Puis elle va faire la rencontre de la femme de l'homme à qui appartiennent les papiers trouvés et une autre histoire va se construire.
Un très beau roman sur la société, sur l'amitié, l'engagement... Parfois dur mais sans tirer sur la corde sensible, le langage décalé de Petite Abeille donne un ton quasi comique à certaines situations.
Un livre qui fait réfléchir sans prendre la tête pour autant.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
Voilà que peu à peu l'histoire se construit. Petite Abeille nous raconte sa vie dans le centre, comment elle a appris la langue et comment elle voit la société occidentale, qu'elle s'imagine raconter à ses ami(e)s resté(e)s au pays.
Puis elle va faire la rencontre de la femme de l'homme à qui appartiennent les papiers trouvés et une autre histoire va se construire.
Un très beau roman sur la société, sur l'amitié, l'engagement... Parfois dur mais sans tirer sur la corde sensible, le langage décalé de Petite Abeille donne un ton quasi comique à certaines situations.
Un livre qui fait réfléchir sans prendre la tête pour autant.
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