>
Critique de Carteroutiere
Ronald Cohen a été un brillant homme d'affaires, il a fait partie des personnes qui ont développé le ventre capital, autrement dit l'art d'investir dans les entreprises pour les faire grandir. A l'âge de 60 ans il a pris sa retraite pour se consacrer à ses dadas : la paix au Proche Orient et la révolution du capitalisme pour mieux nous répondre à nos enjeux d'aujourd'hui.
Ce livre traite de ce second thème. Pour Ronald Cohen, continuez à maximisez le profit pour le profit, c'est aller droit dans le mur. Pour deux raisons : la première est l'aggravation des inégalités sociales qui se traduit par des mouvements comme les gilets jaunes ou l'élection de Trump, et le changement climatique qui est en cours.
Pour répondre à ces enjeux, il défend la thèse de passer du système « risque-retour sur investissement » à celui de « risque - impact - retour sur investissement » où l'impact serait la mesure de contribution sociale et/ou climatique.
L'argent est là à tout niveau (sauf gouvernemental). Il s'agit de mesurer l'impact des investissements et de « remercier » les preneurs de risque soit par un gain en capital, soit par des avantages fiscaux.
En gros le système « profit par le business et en parallèle action des gouvernements et philanthropie » ne suffit plus. Il faut réorienter les investissements vers des actions profitables à la société et à l'écologie. de nombreux gouvernement s'y sont déjà attelés et dans de nombreux pays des mécanismes sot déjà en place. Il y a encore de la marge. le plus difficile est de mesurer l'impact pour développer cette approche; Les outils commencent à apparaître. C'est une course de vitesse pour répondre aux attentes à la fois des citoyens consommateurs qui veulent jouer un rôle, des gouvernements qui y gagneraient au niveau économique et des entreprises pour donner du sens à leurs actions.
La plaidoyer de Ronald Cohen qui préside de tels fonds au niveau anglais et européen est que nous avons une chance. A nous de la saisir. Captivant et concret !
Ce livre traite de ce second thème. Pour Ronald Cohen, continuez à maximisez le profit pour le profit, c'est aller droit dans le mur. Pour deux raisons : la première est l'aggravation des inégalités sociales qui se traduit par des mouvements comme les gilets jaunes ou l'élection de Trump, et le changement climatique qui est en cours.
Pour répondre à ces enjeux, il défend la thèse de passer du système « risque-retour sur investissement » à celui de « risque - impact - retour sur investissement » où l'impact serait la mesure de contribution sociale et/ou climatique.
L'argent est là à tout niveau (sauf gouvernemental). Il s'agit de mesurer l'impact des investissements et de « remercier » les preneurs de risque soit par un gain en capital, soit par des avantages fiscaux.
En gros le système « profit par le business et en parallèle action des gouvernements et philanthropie » ne suffit plus. Il faut réorienter les investissements vers des actions profitables à la société et à l'écologie. de nombreux gouvernement s'y sont déjà attelés et dans de nombreux pays des mécanismes sot déjà en place. Il y a encore de la marge. le plus difficile est de mesurer l'impact pour développer cette approche; Les outils commencent à apparaître. C'est une course de vitesse pour répondre aux attentes à la fois des citoyens consommateurs qui veulent jouer un rôle, des gouvernements qui y gagneraient au niveau économique et des entreprises pour donner du sens à leurs actions.
La plaidoyer de Ronald Cohen qui préside de tels fonds au niveau anglais et européen est que nous avons une chance. A nous de la saisir. Captivant et concret !
Acheter ce livre sur
