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Critique de Idl


Je participe aujourd'hui à ma première Masse Critique Non-Fiction et je tiens à remercier Babelio et les « Éditions Anamosa » pour l'immense honneur qu'ils me font en me permettant de faire la critique de « Peuple », l'un des premiers titres d'une toute nouvelle collection « Le mot est faible ». C'est pour moi une première car à ce jour je ne m'étais pas encore frottée à genre Littéraire.

Tout d'abord, je tiens à préciser que j'aime beaucoup le format, le design de cette nouvelle collection (« Le mot est faible »). Une couverture noire avec des mots blancs extraits du texte. le format, qui diffère de l'ordinaire ( 19x10) est très agréable. On retrouve quelques extraits mis en avant, à l'intérieur du livre, imprimés en gros caractères gras, sur une/des page(s) en format paysage. J'aime d'ailleurs beaucoup cette mise en page, cette mise en avant.

Un mot ? Un concept ? Qu'en est-il de son essence ?

Peuple ... un mot lourd d'histoire, devenu un étendard bien que coquille vide. Et qui depuis peu s'est vu attribué une Couleur, le jaune.

Peuple ... Un mot que les politiques s'approprient très facilement, que les « extrêmes » galvaudent !

Peuple c'est essentiellement le « demos », ce « demos » qui régit notre société, qui nous rassure.

Mais Peuple c'est l'ensemble, la norme et c'est aussi le marginal ! Peuple est duel.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire « Peuple », bien que la non-fiction ne soit pas mon genre littéraire préféré. Cette nouvelle collection est prometteuse, elle remet à l'honneur les mots, ce qui est loin d'être inutile !

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« Si peuple est de l'ordre de l'action et non de la réaction, de l'agir et non de l'être, s'il ne rassemble ni ne crée aucune identité prédéterminée et stable, alors peut-être n'avons-nous pas besoin du mot pour commencer à nous retrouver. Il ne sera chez nous ni le mythe puissant déjà tout armé, ni le préalable à la construction d'une entité d'opposition. Alors, si le mot est faible, mais que notre action sur le réel est forte, nous le rechargerons. Peuple est devant nous, mais il a déjà commencé. »

Ainsi se termine « Peuple »

La critique complète est à retrouver sur mon blog
Lien : https://ellesemerveille.word..
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