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Critique de LoupAlunettes
Un album étonnant et dont on ne verra pas venir le principe du "Cherche et Trouve" avec son début d'histoire.
Non, son auteur Giovanni Colaneri préférera nous désarçonner sans se montrer facétieusement démonstratif.
Cela commence comme cela : "maman, un jour j'ai vu une abeille sur notre balcon" et un petit garçon jurera dessin à l'appui qu'elle ressemblera à ce qui s'y trouve.
"Une abeille en ville ? D'où venait-elle ?"
Et la page d'après nous voici en train de survoler la ville et prendre notre d'un monde incroyable qui grouille comme des fourmis dans ses espaces.
Pas d'explication mais la raison à ces double-pages sans texte trouveront du sens lorsque l'oeil perspicace des jeunes lecteurs rencontrera dans l'amas de personnages des personnages insolites : des insectes.
Ainsi, nous planerons de double-page en double-page d'un coin de la ville à un autre (parc, marché, centre-ville, zones de transports urbains etc …) et jouerons de notre propre initiative à trouver ces insectes parmi les badauds (du moins le croyons-nous). le décalage suffira à apporter de la drôlerie à l'aventure, en plus des petites aventures ordinaires de la vie quotidienne ici-bas.
Sous l'excuse de départ d'avoir croisé une abeille, nous nous retrouverons à observer la ville dans tous ses états, profitant des astuces picturales de l'auteur Giovanni Colaneri pour pencher la scène et cumuler la vue du dessus et de face, nous donnant aussi l'impression d'entrer dans la scène avec cette dernière qui bascule vers nous.
Il n'y aura pas que des abeilles en ville, non, avez-vous vu l'escargot et le chat ? le coq aux lunettes noires, le perroquet ?
Il y en aura plein d'autres à chercher, voyez la page de garde finale.
La chute de l'histoire sera aussi bien vue et l'auteur nous indiquera que cette abeille là est très habituée à la vie urbaine (vous verrez, ce n'est finalement pas ce que l'on croit).
Non, son auteur Giovanni Colaneri préférera nous désarçonner sans se montrer facétieusement démonstratif.
Cela commence comme cela : "maman, un jour j'ai vu une abeille sur notre balcon" et un petit garçon jurera dessin à l'appui qu'elle ressemblera à ce qui s'y trouve.
"Une abeille en ville ? D'où venait-elle ?"
Et la page d'après nous voici en train de survoler la ville et prendre notre d'un monde incroyable qui grouille comme des fourmis dans ses espaces.
Pas d'explication mais la raison à ces double-pages sans texte trouveront du sens lorsque l'oeil perspicace des jeunes lecteurs rencontrera dans l'amas de personnages des personnages insolites : des insectes.
Ainsi, nous planerons de double-page en double-page d'un coin de la ville à un autre (parc, marché, centre-ville, zones de transports urbains etc …) et jouerons de notre propre initiative à trouver ces insectes parmi les badauds (du moins le croyons-nous). le décalage suffira à apporter de la drôlerie à l'aventure, en plus des petites aventures ordinaires de la vie quotidienne ici-bas.
Sous l'excuse de départ d'avoir croisé une abeille, nous nous retrouverons à observer la ville dans tous ses états, profitant des astuces picturales de l'auteur Giovanni Colaneri pour pencher la scène et cumuler la vue du dessus et de face, nous donnant aussi l'impression d'entrer dans la scène avec cette dernière qui bascule vers nous.
Il n'y aura pas que des abeilles en ville, non, avez-vous vu l'escargot et le chat ? le coq aux lunettes noires, le perroquet ?
Il y en aura plein d'autres à chercher, voyez la page de garde finale.
La chute de l'histoire sera aussi bien vue et l'auteur nous indiquera que cette abeille là est très habituée à la vie urbaine (vous verrez, ce n'est finalement pas ce que l'on croit).
