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Critique de LoupAlunettes


Nouveau monde à traverser: Discordia.



Les jeunes lecteurs reconnaitront peut-être l'inspiration littéraire choisie cette fois, le Londres du 19ème siècle, ce futur de feu, de magie, de métal et de vapeur: le Steampunk.



Fabrice Colin y ajoute sa touche personnelle, un labyrinthe.

Nous en apercevons les méandres sur le plan général d'introduction et cela augure d'avance qu'il va être difficile pour la jeune Orage d'être retrouvée par ses amis Mervin, Jenn et Zoey.

Il sera tout aussi difficile de trouver la sortie vers la prochaine porte.



Le charme du lieu est peaufiné d'un ton de non sens qui apporte de l'originalité et de la diversité esthétique.

Les conversations légères sans tirées par les cheveux, sans queue ni tête entre habitants, une véritable histoire de fous. Discordia.



Les règles de la reine Eris sont très claires, il ne faut pas savoir de quoi demain sera fait.

Ainsi, pendant la nuit, le plan de la ville se met à bouger et le lendemain, le ton peut être à la paix, à la liesse ou à la dictature.

C'est la bonne ou mauvaise surprise du jour.



Les enfants commencent à se trouver épuiser de cette quête, à moitié terminée puisqu'ils ont retrouvé Zoey, lassés d'interférer dans les histoires de domination d'adultes.

La confiance est mise à mal, éprouvée deux fois par les desseins et manigances du vil seigneur Langley et ses comparses.

Mais Orage est devenue leur amie et il faut lui porter secours, elle est aussi dépourvue de son artefact.



Enfin, chers lecteurs, ici, nous rencontrons le seigneur Langley.

Le grand vilain de l'histoire sort enfin de l'ombre.



Lesquels arriveront à retrouver Arius, le père de Orage, à temps.

Le secret de l'immortalité et du gaz Zéphyr tomberont-ils dans de mauvaises mains.

Les lecteurs ne devraient pas s'ennuyer dans ce volume non plus, le fil d'intrigue se maintient, en dévoilant à chaque fois un peu, récompensant la lecture fidèle.

Les illustrations restent toujours un bel atout pour entrer dans les univers qui changent d'une attraction de Wonderpark à une autre.

Plaisant et toujours facile à lire.

La suite dans le monde Darkmoor...
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