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Critique de COLPINDidier
Dos de couverture :
"Suite" de l'ouvrage de 2016 '"Maudite soit la guerre"...' dont je reprends la présentation :
« L'année de mes 20 ans, je lisais dans « le canard enchainé » du 03 juillet 1974 :
« (..) A Gentioux, en Creuse, le monument aux morts présente un orphelin qui lève le point sur l'inscription lapidaire : « Maudite soit la guerre ».
Le monument de Gentioux n'a jamais été apprécié par les autorités recueillies, les traîneurs de sabre, et autres bourreurs de crâne. Si on maudit la guerre, comment exalter les vertus de l'armée ? Aussi le monument aux morts de Gentioux n'a-t-il jamais été inauguré. Depuis cinquante ans les autorités civiles l'ignorent et les militaires refusent de s'y présenter en armes (…) »
(Le ton, est bien sûr caractéristique du ‘Canard', mais aussi des années 70…)
Plus de quarante ans plus tard, en 2016, je me suis souvenu de cet article, et naturellement l'expression « Maudite soit la guerre » devenait le titre de ce recueil de poésie.
Vous remarquerez en le lisant que si les poèmes sélectionnés sont de diverses façons comme un pleur devant l'éternité de la guerre, ils ne renferment pas une strophe, pas un vers, pas un mot contre ceux qui la font…
Trop de violences réelles découlent d'une violence verbale… Je ne souhaite pas tomber dans ce travers…
En toutes circonstances, ma plume se veut respectueuse de tout Homme… »
"Suite" de l'ouvrage de 2016 '"Maudite soit la guerre"...' dont je reprends la présentation :
« L'année de mes 20 ans, je lisais dans « le canard enchainé » du 03 juillet 1974 :
« (..) A Gentioux, en Creuse, le monument aux morts présente un orphelin qui lève le point sur l'inscription lapidaire : « Maudite soit la guerre ».
Le monument de Gentioux n'a jamais été apprécié par les autorités recueillies, les traîneurs de sabre, et autres bourreurs de crâne. Si on maudit la guerre, comment exalter les vertus de l'armée ? Aussi le monument aux morts de Gentioux n'a-t-il jamais été inauguré. Depuis cinquante ans les autorités civiles l'ignorent et les militaires refusent de s'y présenter en armes (…) »
(Le ton, est bien sûr caractéristique du ‘Canard', mais aussi des années 70…)
Plus de quarante ans plus tard, en 2016, je me suis souvenu de cet article, et naturellement l'expression « Maudite soit la guerre » devenait le titre de ce recueil de poésie.
Vous remarquerez en le lisant que si les poèmes sélectionnés sont de diverses façons comme un pleur devant l'éternité de la guerre, ils ne renferment pas une strophe, pas un vers, pas un mot contre ceux qui la font…
Trop de violences réelles découlent d'une violence verbale… Je ne souhaite pas tomber dans ce travers…
En toutes circonstances, ma plume se veut respectueuse de tout Homme… »
