Une jeune voleuse est chargée de récupérer un bijou égyptien sur une dénommé Lamia pour le compte d'un mystérieux russe. Une fois le méfait commis, elle est coursée par la dénommée Lamia et après une poursuite échevelée, elle est obligée de passer par une porte et atterit à
Paris, toujours, mais au Moyen Age mais pas le notre car les parisiens sont assiégés par des monstres sanguinaires qui ressemblent à d'énormes molosses. Elle réussit à rejoindre Lamia qui semble être très à l'aise entre ces différents mondes.
Une héroine pétulante, une mystérieuse femme en noire, une religion oubliée (Aton le premier Dieu monothéiste), voilà un cocktail pour le moins intéressant allié à un graphisme très coloré, un peu semblable à celui de
Follet, par moment confus dans le trait mais la couleur supplante alors le trait et rend lisible le dessin.
Bref une première partie intrigante avec beaucoup de questions. Esthétiquement, c'est une réussite. A suivre avec impatience.
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