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Critique de Meygisan
Et c'est parti pour la saison 3 et on commence sur les chapeaux de roues avec cette histoire qui sent le lycanthrope ( le thérianthrope pour les perfectionnistes!) à pleines narines.
Je le disais dans le tome 12, on a entre les mains le tome du renouveau. La nouvelle garde est en place et l'on va nous conter les histoires de ces nouvelles recrues fraîchement promues.
On repart également sur de nouvelles bases d'intrigue, la dernière page vous en dira plus... ou pas...
Qu'on se le dise, j'ai bien aimé ce tome parce qu'il nous présente un Maître Inquisiteur qui possède un "pouvoir" à part de celui des autres. Pour les fans de X men, vous reconnaîtrez sans doute l'allusion au Fauve, ou à d'autres peluches de la maison des idées. le récit tourne bien évidemment autour de lui, le bien nommé Illian, qui n'a pas tout à fait terminé sa formation. Et pour cause puisqu'il se coltine encore son elfe de mentor, le dénommé Gal'ween, rencontré dans un autre tome...
En revanche ( car il y a un "en revanche"), l'aspect enquête qui faisait le charme de cette série a complètement disparu au profit d'une chasse entre un prédateur qui lutte contre ses instincts sauvages et bestiaux et une proie qui y a cédé. On assiste ainsi à une course poursuite entrecoupée de scènes dans lesquelles la proie se complaît dans l'étripage au point qu'on ne l'inviterait pas à sa table, jusqu'à une conclusion où finalement le prédateur ( le maître Inquisiteur) devra céder à ses instincts animalier et à sa soif de sang pour en finir. Spoiler!? Non pas tant que ça parce que finalement on sentait le truc depuis le début gros comme un ours garou. Et c'est bien dommage que Cordurié n'ait pas choisi une autre voie pour traiter cette histoire, que celle déjà contée et archi connue.
On aurait bien aimé en savoir un peu plus sur le comment du pourquoi de la proie, qui n'est là semble t'il que pour donner la réplique à Illian, limite même lui sert il simplement de punching ball, sans autre intérêt que d'être le bourre pif qui permettra au Maître Inquisiteur d'évoluer un peu dans son self control.
J'attendais un peu mieux de la part de Sylvain Cordurié, que j'appréciais par ailleurs pour d'autres travaux, autant dans cette même série que sur d'autres.
Reste que la partie de cartes entre les deux bêtes se trouve être bien plus complexe qu'il n'y paraît et apportera son lot de conséquences, lesquelles seront développées, je l'espère, dans les volumes suivants.
Je le disais dans le tome 12, on a entre les mains le tome du renouveau. La nouvelle garde est en place et l'on va nous conter les histoires de ces nouvelles recrues fraîchement promues.
On repart également sur de nouvelles bases d'intrigue, la dernière page vous en dira plus... ou pas...
Qu'on se le dise, j'ai bien aimé ce tome parce qu'il nous présente un Maître Inquisiteur qui possède un "pouvoir" à part de celui des autres. Pour les fans de X men, vous reconnaîtrez sans doute l'allusion au Fauve, ou à d'autres peluches de la maison des idées. le récit tourne bien évidemment autour de lui, le bien nommé Illian, qui n'a pas tout à fait terminé sa formation. Et pour cause puisqu'il se coltine encore son elfe de mentor, le dénommé Gal'ween, rencontré dans un autre tome...
En revanche ( car il y a un "en revanche"), l'aspect enquête qui faisait le charme de cette série a complètement disparu au profit d'une chasse entre un prédateur qui lutte contre ses instincts sauvages et bestiaux et une proie qui y a cédé. On assiste ainsi à une course poursuite entrecoupée de scènes dans lesquelles la proie se complaît dans l'étripage au point qu'on ne l'inviterait pas à sa table, jusqu'à une conclusion où finalement le prédateur ( le maître Inquisiteur) devra céder à ses instincts animalier et à sa soif de sang pour en finir. Spoiler!? Non pas tant que ça parce que finalement on sentait le truc depuis le début gros comme un ours garou. Et c'est bien dommage que Cordurié n'ait pas choisi une autre voie pour traiter cette histoire, que celle déjà contée et archi connue.
On aurait bien aimé en savoir un peu plus sur le comment du pourquoi de la proie, qui n'est là semble t'il que pour donner la réplique à Illian, limite même lui sert il simplement de punching ball, sans autre intérêt que d'être le bourre pif qui permettra au Maître Inquisiteur d'évoluer un peu dans son self control.
J'attendais un peu mieux de la part de Sylvain Cordurié, que j'appréciais par ailleurs pour d'autres travaux, autant dans cette même série que sur d'autres.
Reste que la partie de cartes entre les deux bêtes se trouve être bien plus complexe qu'il n'y paraît et apportera son lot de conséquences, lesquelles seront développées, je l'espère, dans les volumes suivants.
