Citations sur Finlay Donovan est mortelle, tome 1 : Comment j'ai tu.. (8)
- Vero, j'ai envie de faire pipi.
- Retiens-toi. On est en planque.
- Et c'est pas pour rien qu'on appelle les véhicules de surveillance, des sous-marins.
- Ma vessie s'en contrefiche.
- Si tu pisses dans ma nouvelle voiture, je te tue. Pour le principe.
Facile à dire pour une fille de vingt-deux ans qui n'avait jamais eu d'enfants. Elle pouvait probablement se retenir jusqu'à la ménopause.
- Je dis juste qu'on devrait travailler intelligemment. Pas se tuer à la tâche.
- Tuer des gens pour de l'argent n'a rien d'intelligent !
Mais tu es folle ! Si on se fait prendre, on ne remettra pas notre sort entre les mains d'un [ avocat ] mannequin pour des sous-vêtements Calvin Klein. Je veux un vieux Blanc avec des boutons de manchette et une Rolex. Comme l'avocat de ton ex.
- Qu'est ce qu'il fait ici, LUI ? (...)
- Je suis juste venue rendre visite à ta maman, a-t-il répondu.
- Ah, a fait Delia [ 4 ans ] en tripotant son diadème en plastique, son petit museau froncé offrant l'image d'une candide perplexité. Mon papa a dit que tu es un trou du cul.
Cela faisait plus d'un an que je n'avais embrassé personne. Plus de dix ans que je n'avais embrassé personne d'autre que Steven. Et je venais de passer une année à douter de moi, à me demander pourquoi mon mari était parti, à envisager la possibilité que ce ne soit pas pour les brushings, le corps, l'argent ou les vêtements de Theresa qu'il m'avait quittée. Qu'il m'ait simplement quittée parce que j'étais MOI.
- Tu m'expliques pourquoi on trimballe mille mètres de film fraîcheur ?
- Costco faisait une promo.
(...)
- Tu m'as dit d'apporter du film plastique.
- Je t'ai dit de prendre de la BÂCHE plastique.
- C'est pareil.
- Non, ce n'est pas pareil. Le film plastique, c'est pour emballer les sandwichs. Et la BÂCHE plastique, les morts.
- Maman va trouver comment gagner de l'argent.
Ce n’est vraiment pas un policier qu’on a envie de rouvrir le lendemain. Cette lecture tient plutôt de la corvée. Les 200 premières pages se traînent, puis la 201ème provoque un sursaut de curiosité mesurée. Quel est le/la coupable dans cette histoire invraisemblable où la mafia russe arrive comme un cheveu sur la soupe ? Vraiment sans intérêt et aggravation de l’affaire : la lourdeur du style. Encore perdu mon temps.