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Critique de Prudence
Je n'étais pas fan du livre, jusqu'à arriver au cas d'Émilie (chapitre 6/8) où je me suis pris un gros SCUD. Ça m'a parlé, ça m'a secouée, et c'est arrivé pile poil au bon moment.
Le livre va proposer de dresser le profil de 8 femmes atypiques avec des prénoms, après un test. Je n'aime pas trop cette approche, même si je sais qu'elle simplifie les choses pour beaucoup de personnes et facilite l'identification. C'est pour ça que je ne suis pas entrée facilement dans le livre, je le trouvais correct, mais sans plus, avec des outils et remarques très intéressantes mais avec une présentation qui ne me parle pas (3/5).
L'arrivée à la partie dans laquelle je me situe a fait changer mon point de vue et envie de dire: merci!
Plus objectivement: les analyses et conseils sont bons, je ne suis pas d'accord avec tout (l'orientation psychanalytique ressort parfois) mais j'ai apprécié l'approche de l'autrice, sa bienveillance et son honnêteté: elle n'hésite pas à dire quand ses hypothèses ne sont plus basées directement sur des études mais sur son point de vue.
Je trouve, comme l'autrice, qu'il est important, essentiel même, de parler des femmes atypiques (TDAH, HP, TSA, etc.) et à travers le prisme du genre et de nos sociétés patriarcales.
Le livre va proposer de dresser le profil de 8 femmes atypiques avec des prénoms, après un test. Je n'aime pas trop cette approche, même si je sais qu'elle simplifie les choses pour beaucoup de personnes et facilite l'identification. C'est pour ça que je ne suis pas entrée facilement dans le livre, je le trouvais correct, mais sans plus, avec des outils et remarques très intéressantes mais avec une présentation qui ne me parle pas (3/5).
L'arrivée à la partie dans laquelle je me situe a fait changer mon point de vue et envie de dire: merci!
Plus objectivement: les analyses et conseils sont bons, je ne suis pas d'accord avec tout (l'orientation psychanalytique ressort parfois) mais j'ai apprécié l'approche de l'autrice, sa bienveillance et son honnêteté: elle n'hésite pas à dire quand ses hypothèses ne sont plus basées directement sur des études mais sur son point de vue.
Je trouve, comme l'autrice, qu'il est important, essentiel même, de parler des femmes atypiques (TDAH, HP, TSA, etc.) et à travers le prisme du genre et de nos sociétés patriarcales.
