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Critique de Sorello
une déception. pourtant j'en attendais pas grand chose: je le lisais simplement en parallèle d'un autre livre plus "lourd" pour m'aérer l'esprit.
mon gros problème déjà c'est l'histoire. caricaturalement, j'avais l'impression d'être dans une série adolescente du style 90210, un univers clichés, des personnages clichés avec des rebondissements tirés par les cheveux. Amelia, nouvelle arrivée à (berverly hills) King city débarque dans son nouveau lycée avec pour objectif de ne PAS se faire remarquer, pourtant elle fait tout l'inverse. (mais c'est pas sa faute). parce qu'amelia a du répondant, du caractère, fait du jiu-jitsu et elle est super canon. autrement dit: elle est parfaite. immédiatement, elle devient amis avec les rois du lycée, sportif, beaux (et coureur de jupons, évidemment). elles se trouvent des amis qui deviennent vite ses meilleures amies mais qui ont la facheuse tendance de se sous-estimer par rapport a elle ("t'es géniale, j'aurais jamais osé faire ça"). evidemment, le roi des rois, Aiden, tete du quator de beau gosse, bellâtre mystérieux la fait craquer (entre deux insultes) et EVIDEMMENT, la queen bitch du lycée la prend en grippe en la menacant de ne pas voler son petit ami (à un moment ou ça n'a aucun sens d'ailleurs, puisqu'ils sont loin d'être proche)
j'abuse (légèrement) mais grosso modo ça m'a fait cet effet là pendant ma lecture, surtout celles des premiers chapitres.
même les rebondissements m'ont ennuyés, c'étaient souvent tirés par les cheveux, des adolescents qui mettent en place des combines comme s'ils maîtrisaient tout les facteurs extérieur. j'ai passé mon temps a lever les yeux au ciel et a soupirer mais je crois qu'au final j'étais tout simplement pas la cible de ce livre, et du coup ça n'a pas collé et je suis totalement passé a côté.
mon gros problème déjà c'est l'histoire. caricaturalement, j'avais l'impression d'être dans une série adolescente du style 90210, un univers clichés, des personnages clichés avec des rebondissements tirés par les cheveux. Amelia, nouvelle arrivée à (berverly hills) King city débarque dans son nouveau lycée avec pour objectif de ne PAS se faire remarquer, pourtant elle fait tout l'inverse. (mais c'est pas sa faute). parce qu'amelia a du répondant, du caractère, fait du jiu-jitsu et elle est super canon. autrement dit: elle est parfaite. immédiatement, elle devient amis avec les rois du lycée, sportif, beaux (et coureur de jupons, évidemment). elles se trouvent des amis qui deviennent vite ses meilleures amies mais qui ont la facheuse tendance de se sous-estimer par rapport a elle ("t'es géniale, j'aurais jamais osé faire ça"). evidemment, le roi des rois, Aiden, tete du quator de beau gosse, bellâtre mystérieux la fait craquer (entre deux insultes) et EVIDEMMENT, la queen bitch du lycée la prend en grippe en la menacant de ne pas voler son petit ami (à un moment ou ça n'a aucun sens d'ailleurs, puisqu'ils sont loin d'être proche)
j'abuse (légèrement) mais grosso modo ça m'a fait cet effet là pendant ma lecture, surtout celles des premiers chapitres.
même les rebondissements m'ont ennuyés, c'étaient souvent tirés par les cheveux, des adolescents qui mettent en place des combines comme s'ils maîtrisaient tout les facteurs extérieur. j'ai passé mon temps a lever les yeux au ciel et a soupirer mais je crois qu'au final j'étais tout simplement pas la cible de ce livre, et du coup ça n'a pas collé et je suis totalement passé a côté.
