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Critique de brigittelascombe
"En photos ou à l'écran, la magie de Garbo demeure".
Et c'est vrai que dés l'ouverture de ce superbe livre d'art ( portraits signés par les plus prestigieux photographes d'Hollyxwood) publié en hommage à Greta Garbo par ses héritiers, le lecteur est happé par la mystérieuse beauté de la "Divine" de ses débuts en Suède (où Greta Gustafson a changé de nom) jusqu'à son dernier film "La femme aux deux visages".
J'ai apprécié, comme pour Chanel intime (d'Isabelle Fiemeyer), que les héritiers de Greta Garbo (par l'intermédiaire de son petit neveu Scott Reisfield qui témoigne ici) ouvrent leurs albums de famille et offrent au lecteur lettres et documents privés qui viennent compléter cette peinture de femme forte aux rôles forts,grave et drôle à la fois,discrète et fière de son parcours professionnel. Complété par un essai de Robert Dance (entre intime et carrière) et une filmographie, Garbo portrait d'une légende montre vraiment l'évolution de l'image de cette "icône de la femme moderne".
Mes photos préférées sont celles (magiques) de Clarence Sinclair Bull réalisées pour La chair et le diable et pour L'inspiratrice, qui sculpte les ombres et les lumières et la photo tout en flou poétique de Russel Ball, réalisée pour Anna Karénine.
Une galerie de photos (axées sur le visge et le regard incomparables de Garbo) mettant en valeur sa vulnérabilité et son authenticitévaut, qui vaut le détour!
Et c'est vrai que dés l'ouverture de ce superbe livre d'art ( portraits signés par les plus prestigieux photographes d'Hollyxwood) publié en hommage à Greta Garbo par ses héritiers, le lecteur est happé par la mystérieuse beauté de la "Divine" de ses débuts en Suède (où Greta Gustafson a changé de nom) jusqu'à son dernier film "La femme aux deux visages".
J'ai apprécié, comme pour Chanel intime (d'Isabelle Fiemeyer), que les héritiers de Greta Garbo (par l'intermédiaire de son petit neveu Scott Reisfield qui témoigne ici) ouvrent leurs albums de famille et offrent au lecteur lettres et documents privés qui viennent compléter cette peinture de femme forte aux rôles forts,grave et drôle à la fois,discrète et fière de son parcours professionnel. Complété par un essai de Robert Dance (entre intime et carrière) et une filmographie, Garbo portrait d'une légende montre vraiment l'évolution de l'image de cette "icône de la femme moderne".
Mes photos préférées sont celles (magiques) de Clarence Sinclair Bull réalisées pour La chair et le diable et pour L'inspiratrice, qui sculpte les ombres et les lumières et la photo tout en flou poétique de Russel Ball, réalisée pour Anna Karénine.
Une galerie de photos (axées sur le visge et le regard incomparables de Garbo) mettant en valeur sa vulnérabilité et son authenticitévaut, qui vaut le détour!
