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Critique de jamiK
Ça démarrait pas trop mal. Les trois premiers chapitres se passent sur une planète habitée par des être intelligent, non humanoïdes. Un vaisseau étranger débarque et va provoquer accidentellement une épidémie redoutable… Seconde partie, on se retrouve sur terre ou quelques personnes vont se faire enlever sur la plage et réapparaître trois jours après, c'est déjà un peu moins passionnant, il y a une tentative laborieuse de faire monter le suspense, avec quelques pincée d'horreur stéréotypée. Enfin on arrive à la moitié du livre, ces humains vont rencontrer les extraterrestres, c'est là que tout se gâte...
Le chapitre X fait ressurgir toutes mes craintes, une romance sirupeuse digne des films érotiques des années 70, les personnages tombent dans une illumination mystique, télépathique, dans une “autre dimension”, (je n'aime pas ce terme qui permet d'y fourrer tout et n'importe quoi), les descriptions sont gonflées d'adjectifs redondants, “terrible”, “géante”, “répugnante”… Et le pire c'est quand les spéculations de l'auteur s'attaquent à ce qui tient de l'ordre du psychisme, ça devient vraiment mauvais. L'écriture est chargé d'explications pour une science farfelue mais qui se prend très au sérieux, les solutions de notre héros pour se tirer des situations compliquées sont tirées par les cheveux (il devient super biologiste en un claquement de doigt), et la fin est à la limite du grotesque. J'aime bien les série B de science fiction, mais il faut au moins que ça soit divertissant, là, ce n'est même pas le cas, j'ai lu certains passage en diagonale, car même le style est poussif. Bref, ce roman aurait pu s'appeler “Pasteur contre les extraterrestres”, vous trouvez ça ridicule ? Bon, ben alors il aurait effectivement pu s'appeler comme ça...
Le chapitre X fait ressurgir toutes mes craintes, une romance sirupeuse digne des films érotiques des années 70, les personnages tombent dans une illumination mystique, télépathique, dans une “autre dimension”, (je n'aime pas ce terme qui permet d'y fourrer tout et n'importe quoi), les descriptions sont gonflées d'adjectifs redondants, “terrible”, “géante”, “répugnante”… Et le pire c'est quand les spéculations de l'auteur s'attaquent à ce qui tient de l'ordre du psychisme, ça devient vraiment mauvais. L'écriture est chargé d'explications pour une science farfelue mais qui se prend très au sérieux, les solutions de notre héros pour se tirer des situations compliquées sont tirées par les cheveux (il devient super biologiste en un claquement de doigt), et la fin est à la limite du grotesque. J'aime bien les série B de science fiction, mais il faut au moins que ça soit divertissant, là, ce n'est même pas le cas, j'ai lu certains passage en diagonale, car même le style est poussif. Bref, ce roman aurait pu s'appeler “Pasteur contre les extraterrestres”, vous trouvez ça ridicule ? Bon, ben alors il aurait effectivement pu s'appeler comme ça...
