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Critique de emdicanna
De temps en temps, j'y reviens. Ces livres et leurs personnages conservent pour moi la souvenir du jour où je les ai rencontrés pour la première fois, sur l'étagère d'une vieille bibliothèque de comité d'entreprise, tout en haut d'un escalier qui se la jouait d'abord en marbre et se terminait, très étroit, en vieux bois qui craquait, tout là-haut dans le grenier.
C'est l'histoire d'une famille, et d'abord de la fondatrice, Adeline Whiteoak, qui vivra centenaire, et que l'on retrouvera de volume en volume, accompagnée de son perroquet. D'origine irlandaise, de caractère fort, ayant vécu aux Indes au temps de la splendeur de l'Empire britannique, elle "règne" sur tout son monde. Et puis il y a les fils et petits-fils, les voisins, les belle-filles, la maison-refuge, les retours de guerres, les passions contrariées, les envols artistiques de certains membres de la famille, l'amour de la terre pour certains, celui des chevaux pour d'autres, et l'argent qui se fait plus rare, au fur et à mesure des évènements et des années.
Ça n'est pas un chef-d'oeuvre, c'est un vieil ami à qui on pardonne beaucoup, parce qu'on peut aller s'y ressourcer, de temps en temps, quand on souhaite échapper à la réalité, histoire de souffler avant de repartir au combat.
C'est l'histoire d'une famille, et d'abord de la fondatrice, Adeline Whiteoak, qui vivra centenaire, et que l'on retrouvera de volume en volume, accompagnée de son perroquet. D'origine irlandaise, de caractère fort, ayant vécu aux Indes au temps de la splendeur de l'Empire britannique, elle "règne" sur tout son monde. Et puis il y a les fils et petits-fils, les voisins, les belle-filles, la maison-refuge, les retours de guerres, les passions contrariées, les envols artistiques de certains membres de la famille, l'amour de la terre pour certains, celui des chevaux pour d'autres, et l'argent qui se fait plus rare, au fur et à mesure des évènements et des années.
Ça n'est pas un chef-d'oeuvre, c'est un vieil ami à qui on pardonne beaucoup, parce qu'on peut aller s'y ressourcer, de temps en temps, quand on souhaite échapper à la réalité, histoire de souffler avant de repartir au combat.
