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Quand Izah découvre que sa grand-mère, avec qui elle vit depuis le décès de ses parents, vient en fait d'un autre monde et que par conséquent, elle-même n'est pas la fille qu'elle croyait, toutes ses certitudes s'envolent. Quand elle se retrouve de l'autre côté du miroir, Izah devra s'armer de courage et laisser tomber toutes ses croyances pour espérer un jour retrouver son foyer.
L'univers de Marine de Lavergne est riche, foisonnant même; parfois un peu trop. En effet, on ne saurait dénombrer les créatures, les pouvoirs, les personnages qui peuplent ce premier roman d'une série. Au point de parfois perdre le lecteur dans ces moments où l'autrice préfère asséner toutes les informations d'un coup plutôt que de les distiller au gré du récit.
On sent poindre sous la plume les influences d'Harry Potter, de l'univers Disney et de la Croisée des Mondes entre autres. Mais Marine de Lavergne est parvenue tout de même à se construire un monde à elle. Comme souvent dans ce type de littérature, la jeune héroïne, d'abord un peu déboussolée, se révélera bien plus forte qu'elle ne le pensait elle-même. Malgré tout, parfois, on se dit que tout cela va un peu vite et j'aurais bien aimé que l'autrice prenne le temps de faire évoluer son personnage en nous expliquant les moments de transition. En effet, il faut bien avouer que par moment, on se surprend à se demander comment on est arrivé à la phase suivante de son développement.
Malgré tous ces petits défauts, la lecture de ce fantasy jeunesse reste très agréable à lire et c'est avec attention que je guetterai la parution de la suite.
Le seul vrai et gros point noir, c'est que l'autrice semble fâchée avec la conjugaison et avec les accords grammaticaux. Si pour un adulte, c'est parfois pénible de tomber très (trop) régulièrement sur ce type d'erreur, proposer à de jeunes lecteurs un ouvrage bourré de fautes d'accords et de verbes mal conjugués serait un vrai faux pas. J'espère donc qu'avant tout, Marine de Lavergne va faire relire son roman par un oeil averti et supprimer toutes ces coquilles qui m'empêcheraient de recommander son roman alors que j'en ai bien apprécié le fond.
Critique de MaggyM
Quand Izah découvre que sa grand-mère, avec qui elle vit depuis le décès de ses parents, vient en fait d'un autre monde et que par conséquent, elle-même n'est pas la fille qu'elle croyait, toutes ses certitudes s'envolent. Quand elle se retrouve de l'autre côté du miroir, Izah devra s'armer de courage et laisser tomber toutes ses croyances pour espérer un jour retrouver son foyer.
L'univers de Marine de Lavergne est riche, foisonnant même; parfois un peu trop. En effet, on ne saurait dénombrer les créatures, les pouvoirs, les personnages qui peuplent ce premier roman d'une série. Au point de parfois perdre le lecteur dans ces moments où l'autrice préfère asséner toutes les informations d'un coup plutôt que de les distiller au gré du récit.
On sent poindre sous la plume les influences d'Harry Potter, de l'univers Disney et de la Croisée des Mondes entre autres. Mais Marine de Lavergne est parvenue tout de même à se construire un monde à elle. Comme souvent dans ce type de littérature, la jeune héroïne, d'abord un peu déboussolée, se révélera bien plus forte qu'elle ne le pensait elle-même. Malgré tout, parfois, on se dit que tout cela va un peu vite et j'aurais bien aimé que l'autrice prenne le temps de faire évoluer son personnage en nous expliquant les moments de transition. En effet, il faut bien avouer que par moment, on se surprend à se demander comment on est arrivé à la phase suivante de son développement.
Malgré tous ces petits défauts, la lecture de ce fantasy jeunesse reste très agréable à lire et c'est avec attention que je guetterai la parution de la suite.
Le seul vrai et gros point noir, c'est que l'autrice semble fâchée avec la conjugaison et avec les accords grammaticaux. Si pour un adulte, c'est parfois pénible de tomber très (trop) régulièrement sur ce type d'erreur, proposer à de jeunes lecteurs un ouvrage bourré de fautes d'accords et de verbes mal conjugués serait un vrai faux pas. J'espère donc qu'avant tout, Marine de Lavergne va faire relire son roman par un oeil averti et supprimer toutes ces coquilles qui m'empêcheraient de recommander son roman alors que j'en ai bien apprécié le fond.
