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Critique de aliceintheothersideofthebooks
La quatrième de couverture commence par « à l'approche de l'été 2041 » et là je me dis « aïe », mot immédiatement suivi d'un tonitruant « ouille » parce que… Excusez-moi, mon esprit a divagué, je suis partie dans un délire lexical à cause d'un « c », en me faisant noter (c'est quand même fou à quel point je suis prolixe avec moi-même) que l'on pouvait ajouter cette lettre auxdites interjections pour obtenir, phonétiquement parlant, deux autres mots qui n'ont absolument rien à voir mais pouvant susciter d'autres interjections. Bref, après avoir perdu la moitié de mes abonnés grâce à cet interlude, je disais donc, ah oui, parce que la science-fiction, autant j'aime ça dans les séries télévisées, autant je passe mon tour lorsqu'il s'agit de romans. Mais…
🌊 … en y réfléchissant bien, 2041, c'est dans un peu moins de 20 ans, une époque, j'espère de tout coeur, que vos enfants et mes neveux connaîtront, et que nous connaîtrons nous aussi (du moins pour les plus chanceux (?) d'entre nous). On parvient donc à se projeter facilement dans ce futur proche. Par ailleurs, les innovations techniques et technologiques décrites dans le livre, comme les véhicules automatisés, par exemple, font déjà l'objet d'expérimentations et, quant aux nouvelles technologies, au fil des ans nous assistons à une croissante dépendance des smartphones et autres appareils, si bien que je me suis facilement plongée dans le récit.
🌊 Par ailleurs, et hormis toutes ces innovations, s'il n'y avait aucune référence temporelle, le récit s'ajusterait parfaitement à notre époque. Et les nombreux retours dans le passé, en l'occurrence l'année 2020, permettent, une fois de plus, d'imaginer (et de s'imaginer dans) ce futur relativement proche. Et à quoi ressemble ce futur ? Prenez l'année 2023 et tous les problèmes socio-économiques, écologiques et environnementaux que nous connaissons actuellement, tels que les pandémies, les inégalités sociales, le réchauffement climatique et les vagues d'immigration, entre autres, et décuplez les répercussions à moyen terme.
🌊 L'intrigue, semblable à des poupées russes, est très bien ficelée. Ceci dit ne vous attendez pas à un page-turner, le récit ne gagne en dynamisme qu'à partir de la moitié du livre. Je dirais plutôt que l'auteur nous pousse dans nos retranchements et nous amène à nous questionner sur les avantages et les inconvénients des sociétés ultra-connectées, tout en réfléchissant à la notion de démocratie.
Bref, les libertés individuelles sont-elles restreintes par les libertés collectives ? Et la vigilance de tout un chacun n'est-elle pas contraire à la notion même de liberté ?
Lien : https://www.instagram.com/al..
🌊 … en y réfléchissant bien, 2041, c'est dans un peu moins de 20 ans, une époque, j'espère de tout coeur, que vos enfants et mes neveux connaîtront, et que nous connaîtrons nous aussi (du moins pour les plus chanceux (?) d'entre nous). On parvient donc à se projeter facilement dans ce futur proche. Par ailleurs, les innovations techniques et technologiques décrites dans le livre, comme les véhicules automatisés, par exemple, font déjà l'objet d'expérimentations et, quant aux nouvelles technologies, au fil des ans nous assistons à une croissante dépendance des smartphones et autres appareils, si bien que je me suis facilement plongée dans le récit.
🌊 Par ailleurs, et hormis toutes ces innovations, s'il n'y avait aucune référence temporelle, le récit s'ajusterait parfaitement à notre époque. Et les nombreux retours dans le passé, en l'occurrence l'année 2020, permettent, une fois de plus, d'imaginer (et de s'imaginer dans) ce futur relativement proche. Et à quoi ressemble ce futur ? Prenez l'année 2023 et tous les problèmes socio-économiques, écologiques et environnementaux que nous connaissons actuellement, tels que les pandémies, les inégalités sociales, le réchauffement climatique et les vagues d'immigration, entre autres, et décuplez les répercussions à moyen terme.
🌊 L'intrigue, semblable à des poupées russes, est très bien ficelée. Ceci dit ne vous attendez pas à un page-turner, le récit ne gagne en dynamisme qu'à partir de la moitié du livre. Je dirais plutôt que l'auteur nous pousse dans nos retranchements et nous amène à nous questionner sur les avantages et les inconvénients des sociétés ultra-connectées, tout en réfléchissant à la notion de démocratie.
Bref, les libertés individuelles sont-elles restreintes par les libertés collectives ? Et la vigilance de tout un chacun n'est-elle pas contraire à la notion même de liberté ?
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