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Critique de Mespetitescritiqueslitteraires
En 2018, dans les Alpes, Louise se lance au galop pour atténuer sa peine suite au décès de son grand-père. Nourrie dès le plus jeune âge aux histoires de cowboys et d'indiens, elle s'imagine tout naturellement chevauchant dans les contrées de l'Ouest sauvage. Mais, lorsque sa jument Arizona-Dream s'élance au-dessus d'une barrière en bois et que toutes deux se retrouvent propulsées dans la petite ville de Tombstone en 1881, Louise n'en croit pas ses yeux.
Là où j'aurais dû trouver la verdure rassurante des sapins des Alpes ou au moins ses vastes prairies, ne poussaient que cactus et broussailles.
Ici, nul besoin d'une DeLorean pour voyager dans le temps. Passée la stupéfaction, Louise retrouve peu à peu l'ambiance que son défunt grand-père lui décrivait : la poussière, les façades en bois coloré, le raclement des éperons sur le parquet du saloon, les cowboys rustres et souvent ivres. Mais voilà, l'homme n'est pas voué à voyager dans le temps, encore moins une jeune fille. Un détail modifié, aussi subtil ou insignifiant soit-il, et c'est toute l'histoire qui serait changée. Alors, lorsqu'il s'agit du fameux duel à O.K Corral, opposant les frères Clanton aux célèbres frères Earp, la prudence est de mise...
Voilà une aventure qui se nourrit de l'imaginaire collectif des vastes plaines d'Arizona et des plus grands westerns. Avec un style frais, enlevé et facile d'accès, Nicolas Delalondre nous invite à une excursion dans le Far-West. Tout y est, absolument tout : les indiens aux yeux perçants, à l'écoute des esprits et de leurs visions, les robes à tournure des femmes distinguées, la poussière rouge et collante, les mustangs fougueux et rapides comme l'éclair, les cowboys peu recommandables, la menace des duels au lever ou au coucher du soleil, la détonation des colts dans les rues désertes.
Au fil des pages, le lecteur se surprend à revoir les meilleures scènes des westerns et s'attend presque à y croiser Henri Fonda, John Wayne, Lee Van Cleef ou Clint Eastwood, sur un fond musical signé Ennio Morricone, bien évidemment.
Grâce à sa passion pour les grands espaces et pour les chevaux, Nicolas Delalondre nous offre ici un premier roman qui, malgré quelques clichés, ravira les jeunes ou grands adolescents que nous sommes restés. Une aventure au galop qui nous tient en haleine du début jusqu'à la fin, sans aucun temps mort. Il ne nous reste plus qu'à attendre patiemment que la diligence nous apporte le deuxième tome ! Alors, en selle Nicolas, Yeehaw !
Là où j'aurais dû trouver la verdure rassurante des sapins des Alpes ou au moins ses vastes prairies, ne poussaient que cactus et broussailles.
Ici, nul besoin d'une DeLorean pour voyager dans le temps. Passée la stupéfaction, Louise retrouve peu à peu l'ambiance que son défunt grand-père lui décrivait : la poussière, les façades en bois coloré, le raclement des éperons sur le parquet du saloon, les cowboys rustres et souvent ivres. Mais voilà, l'homme n'est pas voué à voyager dans le temps, encore moins une jeune fille. Un détail modifié, aussi subtil ou insignifiant soit-il, et c'est toute l'histoire qui serait changée. Alors, lorsqu'il s'agit du fameux duel à O.K Corral, opposant les frères Clanton aux célèbres frères Earp, la prudence est de mise...
Voilà une aventure qui se nourrit de l'imaginaire collectif des vastes plaines d'Arizona et des plus grands westerns. Avec un style frais, enlevé et facile d'accès, Nicolas Delalondre nous invite à une excursion dans le Far-West. Tout y est, absolument tout : les indiens aux yeux perçants, à l'écoute des esprits et de leurs visions, les robes à tournure des femmes distinguées, la poussière rouge et collante, les mustangs fougueux et rapides comme l'éclair, les cowboys peu recommandables, la menace des duels au lever ou au coucher du soleil, la détonation des colts dans les rues désertes.
Au fil des pages, le lecteur se surprend à revoir les meilleures scènes des westerns et s'attend presque à y croiser Henri Fonda, John Wayne, Lee Van Cleef ou Clint Eastwood, sur un fond musical signé Ennio Morricone, bien évidemment.
Grâce à sa passion pour les grands espaces et pour les chevaux, Nicolas Delalondre nous offre ici un premier roman qui, malgré quelques clichés, ravira les jeunes ou grands adolescents que nous sommes restés. Une aventure au galop qui nous tient en haleine du début jusqu'à la fin, sans aucun temps mort. Il ne nous reste plus qu'à attendre patiemment que la diligence nous apporte le deuxième tome ! Alors, en selle Nicolas, Yeehaw !
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