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Critique de SheWolf
Que l'on soit naturaliste confirmé ou simple amateur éclairé, il y a des guides qu'il faut avoir dans sa bibliothèque. Celui-ci en fait partie. Nul doute que d'autres préfèreront d'autres éditeurs ou d'autres éditions, un guide demeure un ouvrage très personnel et pas uniquement parce qu'on l'annote. On y a ses habitudes, certains préfèrent la photographie d'autre le dessin et l'aquarelle. Cependant, ce guide des orchidées demeure un classique.
Les orchidées sont des fleurs étonnantes, souvent rares, généralement protégées. Certaines espèces, comme le Sabot de Vénus sont tellement exceptionnelles qu'on en compte les pieds et les stations, taisant leur localisation autant qu'un cueilleur, ses coins à champignons. D'autres sont plus communes, mais uniques ou plus banales, les orchidées sont toujours des fleurs spéciales. La composition de la fleur ou de l'inflorescence, la disposition des pièces florales, sépales et pétales, la présence du labelle, de l'éperon, des pollinies sont autant de particularités utiles à connaître autant que pour l'identification. Leur relation à leurs pollinisateurs, qu'elles les nourrissent ou qu'elles les leurrent, est une autre source de surprise.
Bien sûr, aujourd'hui, les orchidées cultivées sont disponibles jusqu'en grande surface. Celles de ce guide sont sauvages. Leur fleurs, petites pour la plupart, n'ont ni la somptuosité, ni l'opulence, ni la splendeur de celles qui ornent peut-être vos maisons. Elles n'ont pour elle que la fraîcheur naturelle de pousser chaque année au pied d'un talus ou sur la prairie calcaire.
Les orchidées sont des fleurs étonnantes, souvent rares, généralement protégées. Certaines espèces, comme le Sabot de Vénus sont tellement exceptionnelles qu'on en compte les pieds et les stations, taisant leur localisation autant qu'un cueilleur, ses coins à champignons. D'autres sont plus communes, mais uniques ou plus banales, les orchidées sont toujours des fleurs spéciales. La composition de la fleur ou de l'inflorescence, la disposition des pièces florales, sépales et pétales, la présence du labelle, de l'éperon, des pollinies sont autant de particularités utiles à connaître autant que pour l'identification. Leur relation à leurs pollinisateurs, qu'elles les nourrissent ou qu'elles les leurrent, est une autre source de surprise.
Bien sûr, aujourd'hui, les orchidées cultivées sont disponibles jusqu'en grande surface. Celles de ce guide sont sauvages. Leur fleurs, petites pour la plupart, n'ont ni la somptuosité, ni l'opulence, ni la splendeur de celles qui ornent peut-être vos maisons. Elles n'ont pour elle que la fraîcheur naturelle de pousser chaque année au pied d'un talus ou sur la prairie calcaire.
