Les Ombres du Yali, est selon les mots de l'éditeur, "un texte simple et pudique [qui] dresse le portrait d'une femme entière et complexe confrontée au désir et aux contradictions des hommes". Or ce court récit empreint de nostalgie et d'amertume reste, à l'image de Célilé, extrêmement distant... Au bout des 110 pages, notre lecture s'achève par la découverte d'un "monde hostile et plein de calcul" (p.107), qui semble-t-il aurait succédé au raffinement "d'un Empire ottoman balayé par
L Histoire".
Terriblement déprimant.
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