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Critique de JunoR
On est saisi de ce qui est qualifié de "lecture jeunesse" il y a seulement quelques dizaines d'années. En effet, le thème est assez dramatique et l'histoire effrayante. L'auteur y a injecté pas mal de morale, également, ce qui donne un coup de vieux déplaisant à l'ensemble.
Les personnages sont dichotomiques à souhait et plein de moralité, y compris Billy qui, de "méchant" petit garçon, devient instantanément un "gentil" petit chat tout mignon dès qu'il devient vulnérable ce que j'ai trouvé réducteur et simpliste.
L'ensemble du dessin chargé et détaillé, la foison des dialogues de sourds, l'enchaînement dynamique et rapide des séquences rendent l'ensemble véritablement épuisant à lire. Même si je n'ai pas aimé l'expérience, je dois dire qu'elle est réussie.
Bref, je n'ai pas apprécié cette bande dessinée que j'ai rapidement fini par lire en diagonal.
Les personnages sont dichotomiques à souhait et plein de moralité, y compris Billy qui, de "méchant" petit garçon, devient instantanément un "gentil" petit chat tout mignon dès qu'il devient vulnérable ce que j'ai trouvé réducteur et simpliste.
L'ensemble du dessin chargé et détaillé, la foison des dialogues de sourds, l'enchaînement dynamique et rapide des séquences rendent l'ensemble véritablement épuisant à lire. Même si je n'ai pas aimé l'expérience, je dois dire qu'elle est réussie.
Bref, je n'ai pas apprécié cette bande dessinée que j'ai rapidement fini par lire en diagonal.
